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Retour sur l’agression paranormale qui a eu lieu en Russie en 1959 : où 9 universitaires on été tués dans l'Oural

C'est Rusty James et son blog qui vous offre cette page de la section twillight zone. Tout ce que j'en retiens, car on n'en saura certainement jamais plus, c'est que comme à l'accoutumée, ces brillants universitaires n'ont pas tenu compte de l'enseignement des tribus locales. Parce qu'avec un nom comme ça, moi je n'aurai pas choisi cet endroit pour aller faire du ... ski... En tout cas, ils l'ont semble-t-il payé assez cher...

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En 1959, un groupe d’étudiants et d’enseignants Russes de l’Ural Polytechnical Institute parti en cession de sport de ski à travers le nord de l’Oural dans Sverdlovsk Oblast, ont été retrouvés morts dans des circonstances étranges, pour ne pas dire paranormales.

C’est à partir du 10 Février que le groupe ne donnait plus de signe de vie, les forces de l’ordre et les militaires ont ainsi été alertés par l’université et le 26 Février ils ont commencé à mettre en place les opérations de recherches dont certains de l’université s’étaient portés volontaires pour retrouver leurs collègues.

9 cadavres ont été retrouvés durant plusieurs mois de recherche, mais les circonstances sont assez particulières. Le campement où étaient posés les tentes de nos chers disparus ont toutes été déchirées de l’intérieur, les traces des pas selon les enquêteurs laissaient supposer que le groupe fuyait quelque chose puisqu’ils n’ont même pas eu le temps de se vêtir ou de se munir de provisions. Ils se sont donc enfuis pieds nus à travers la neige plus ou moins dévêtus dans un froid sibérien quasi absolu.

6 sont mort par hypothermie et 3 cadavres montrent des traces de blessures fatales, un dont la langue a été arrachée tandis que les autres avaient eu le thorax et crâne défoncés mais sans aucun signe de dommage sur l’épiderme. D’après les enquêteurs seul une force surhumaine ou des conditions d’un accident de voiture à pleine vitesse aurait pu commettre de telles blessures fatales.
Ce qui est étrange c’est qu’il n’y a aucune trace d’éventuels poursuivants ou d’animaux sauvages aux alentours, il y a aucune trace de lutte. Ce qui d’ailleurs disculpe les peuples Mansi d’être les auteurs de ces meurtres.

Le plus impressionnant et le plus insolite des détails est le fait que les corps ainsi que leurs vêtements présentaient de très fortes concentrations de radiations, si bien que les cadavres avaient un teint de peau marron-gris. Les radiations étaient si élevées qu’ils ont été enterrés dans des coffres en zinc lors de la cérémonie funéraire.

L’autre fait curieux est que plusieurs témoins indépendants, aussi bien des peuples locaux appelés les Mansi et la station météorologique ont vu des sphères lumineuses aux alentours du Kholat Syakhl, la région montagneuse où est mort le groupe de hikers en question durant les mêmes jours de leur disparition. Dans la langue locale cette région montagneuse Kholat Syakhl signifie « la montagne de la mort », le mont qu’ils visaient pour leurs excursions sportives se nomme le mont Otorten qui signifie en Mansi « Ne va pas là-bas ». L’histoire sombre de cette région auprès de ce peuple vient du fait que beaucoup d’entre eux y sont morts de manière toute aussi inexpliquée.

Depuis cet incident, ce passage montagneux a été baptisé The Dyatlov pass en l’honneur du chef du groupe des disparus. Il existe aussi un musée Dyatlov à l'Ural State Technical University et une fondation du même nom qui milite pour la réouverture du dossier qui a été gardé secret par le gouvernement russe jusqu’en 1990, dont les conclusions restent toujours à ce jour les mêmes, 9 hikers ont été tués par une force inconnue et il s’agirait non pas d’un accident mais de meurtres.

Ainsi je spécule comme le documentaire en question, soit il s’agit d’un OVNI, cette fameuse boule lumineuse aperçue durant l’incident à l’origine de ces radiations fatales et qui semblent être aussi à l’origine de cette réputation morbide véhiculé par les peuples autochtones de la région les Mansi.

Ou bien le groupe a découvert une base secrète militaire russe qui semblerait développer de nouvelles armes à radiation. Une théorie toute aussi contestée.

J’ai fait un condensé d’information trouvé sur Wikipedia et du documentaire d’anciens aliens. Il paraîtrait qu’il y a un film et plusieurs livres sur cet incident.

source: http://www.planete-revelations.com/t11241-agression-mortelle-dun-ovni-sur-9-etudiants-hikers-russe-en-1959

via http://tpi-gestion.fr/WordPress3/2012/07/12/agression-mortelle-dun-ovni-sur-9-etudiants-hikers-russe-en-1959/

via http://area51blog.wordpress.com/2012/07/25/agression-mortelle-dun-ovni-sur-9-etudiants-hikers-russes-en-1959/

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Autre Enquête :

Pour commencer l'article sur l'incident du Col de Dyatlov nous parlerons en premier lieu des exagérations qui ont poussé les gens à tenir des théories fantastiques sur le sujet. Les hauts niveaux de radiation retrouvés sur les corps suivis de l'étrange couleur orangée des cadavres ou bien encore les lumières vues dans le ciel la nuit de l’incident : ces exagérations sont nées de l'engouement des médias ou de la très large diffusion sur Internet. Après un demi siècle, le seul mystère qui plane sur cet incident est une question simple : Qu’est-ce qui a poussé 9 randonneurs expérimentés à fuir leur camp au beau milieu de la nuit, par -20° ? 

Les autorités russes, après enquête, classe l'affaire sans suite : les randonneurs sont mort des suites d'une « force inconnue impérieuse ». Après cette merveilleuse explication l'affaire sera classée et obtiendra une classification "Top secret". Il faut attendre les années 90 pour que les autorités décident de déclassifier l'affaire du Col De Dyatlov qui sera suivie d'un engouement par la presse et Internet. C'est d'ailleurs cet engouement qui a créé les théories fantasques présentent plus haut. Les autorités russes, dans cette affaire, ont-ils occulté des faits, ont-ils vraiment donné les conclusions ? Et si non, qu'ont-ils tenté de couvrir ?

Si j'avais la chance de poser une seule question à Dieu, ce serait :« Qu'est-ce qui est réellement arrivé à mes amis ce soir-là », raconte Youri Yudin, le 10e membre de l'expédition du destin et le seul survivant. Yudin était tombé malade et était rentré quelques jours plus tôt du voyage.

Nous sommes en 1959 et la Russie commence doucement à respirer après des années de répression Stalinienne. Le Premier secrétaire, Nikita Khrouchtchev n'était pas Staline et le pays devenait plus libre. Les années 1950 ont connu une explosion d'interêt pour le "tourisme sportif" : un mélange d'escalade, randonnée et d'aventure. Pour les étudiants qui en étaient friands, le tourisme sportif était un vrai retour aux sources, un échappatoire à la ville et surtout à l'Etat. Ils partaient à l'aventure dans les coins les plus reculés et sauvages de l'Union soviétique.

Nous nous penchons plus particulièrement sur dix personnes du groupe de l'institut polytechnique de l'Oural. Leur itiniraire était classé "Niveau 3" le plus dangereux, du moins pour cette saison de l'année. Mais le chef du groupe Igor Dyatlov âgé de 23 ans, respecté pour sa maîtrise du ski de fond et de l'escalade ainsi que l'expérimentation du reste du groupe ne donnaient pas une raison de s'inquiéter pour leur expédition. 

Le groupe est composé des personnes suivantes :

Igor Dyatlov (23 ans)
Youri Yudin
Georgy Krivonischenko (24 ans), 
Yury Doroshenko (24 ans)
Zina Kolmogorova (22 ans)
Rustem Slobodin (23 ans)
Nicolas Thibeaux Brignollel (24 ans)
Ludmila Dubinina (21 ans)
Alexander Kolevatov (25 ans)
Alexander Zolotaryov (37 ans).

Le groupe part donc le 23 Janvier 1959 dans leur expédition dans ce qui doit être une traversée d'une semaine vers l'Otorten. Après avoir voyagé en train puis en camion ils arrivent à Vizhai - la dernière agglomération habitée avant le désert enneigé, entre eux et l’Otorten. Ils commencent leur ascension le 27. Le lendemain, Youri Yudin tombe malade et doit donc rebrousser chemin. La suite de leur expédition peut être suivie grâce à leurs journaux personnels et celui du groupe, le "Otorten soir" pratique courante chez les groupes de jeunes pratiquant le "tourisme sportif". 

Pendant trois jours, le groupe a skié et a suivi les chemins de la tribu locale "Les Mansi" pour finir par installer leur camp de base à la lisière des hauts plateaux où ils ont laissé du matériel et de la nourriture pour le voyage du retour. Leur ascension du Col de l'Otorten commenee donc le 1er février. Pour des raisons météo le groupe se perd et se retrouve sur la montagne Kholat Syakhl à une altitude juste en dessous des 1100 m. Ils installent donc leur camp pour la nuit à 17 heures. Selon les écrits dans les journaux personnels, les étudiants étaient tous de bonne humeur. Ces écrits seront les derniers.

Ce n'est que le 20 février que les recherches commencent, en effet le groupe avait prévu de retourner à Vizhai au plus tard le 12 Février, et Dyatlov enverrait un télégramme au club de sport de l'Institut en disant qu'ils étaient bien arrivés. Mais l'institut ne s'est pas inquiété de ne pas recevoir de télégramme à la date butoire. Ce sont les parents d'élèves qui ont sonné l'alarme. L'institut envoie un groupe de recherche composé d'enseignants et d'élèves suivi de la police et de l'armée.


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"Nous avons découvert que la tente était à moitié détruite et recouverte de neige. Elle était vide, et les affaires du groupe et les chaussures avaient été abandonnées", a déclaré Mikhail Sharavin, l’étudiant bénévole qui a trouvé la tente. Le camp ne sera découvert que le 26 février.

La tente avait été entaillée de l'intérieur, des taillades permettant à une personne de sortir. Aucune trace de lutte n'était présente sur le camp. Des traces de pas étaient encore présentes dans la neige, certaines faites par des bottes, des chaussettes ou bien même nu pied. Aucune trace des étudiants sur leur camp. Les empreintes descendent cinq cents mètres plus bas vers la forêt et ne sont plus présentes ensuite. Les premiers corps sont retrouvé à 1,5 kilomètres du camp. Georgy Krivonischenko et Yury Doroshenko, pieds nus et vêtus de leurs sous-vêtements sont retrouvés à la lisière de la forêt. Leurs mains sont brûlées, il y avait un reste de feu près d'eux. L'arbre, un imposant sapin sous lequel les corps sont retrouvés, présente des branches cassées jusqu'à cinq mètres de hauteur

Trois cents mètres plus loin le corps de Dyatlov, sur le dos, le visage regardant dans la direction du camp et serrant d'une main une branche, fut retrouvé. Vient ensuite la découverte du corps de Rustem Slobodin, et à 150 m de lui gisait Zina Kolmogorova. Eux aussi présentent des brûlures aux mains, seul Slobodin portait des lésions autres : son crâne était fracturé.

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From left, Lyudmila Dublinina, Rustem Slobodin, Alexander Zolotaryov and Zina Kolmogorova posing in early 1959.

Il fallut deux mois de plus pour retrouver les quatre autres étudiants. Nicolas Thibeaux-Brignollel, Ludmila Dubinina, Alexander Kolevatov et Alexander Zolotaryov furent retrouvés à environs 80 mètres du sapin enterrés sous quatre mètres de neige. Ce furent eux qui eurent la mort la plus violente, Thibeaux-Brignollel avait le crâne écrasé, Lyudmila Dubinina avait de nombreuses côtes cassées et n'avait plus de langue et Zolotaryov avaient lui aussi de nombreuses côtes cassées.

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For The St. Petersburg Times - Yuri Yudin hugging Lyudmila Dublinina as he prepares to leave the group due to illness in late January 1959, as Igor Dyatlov looks on.

L'écrivain Igor Sobolyov, qui a enquêté sur les décès, a fait apparaître que certains d'entre eux avaient pris des vêtements sur les corps de ceux qui étaient morts les premiers dans une tentative pour garder la chaleur. Zolotaryov portait le manteau en fausse fourrure de Dublinina et son chapeau, alors que le pied de Dublinina était enveloppé dans un morceau du pantalon de laine de Krivonischenko. Thibeaux-Brignolle avait deux montres au poignet - l'une indiquait 8 h 14, l'autre 8 h 39.

Malgré les nombreuses questions en suspens, l’enquête a été close à la fin du mois et le dossier a été envoyé à des archives secrètes. Encore plus mystérieusement, les skieurs et d’autres aventuriers ont été exclus de la zone les trois années suivantes.

Maintenant, pourquoi neufs randonneurs expérimentés quittent leur camp pour la nuit à toute vitesse en allant même jusqu'à découper leur tente pour en sortir plus vite et ne même pas se donner la peine de s'habiller pourtant malgré des températures de moins 20 degrés ? Quelle est donc cette force "Inconnue" qui les a poussés à fuir si vite ? Pourquoi certains ont-ils essayé de retourner vers le camp ? Comment quatre des neuf étudiants se sont retrouvés sous quatre mètres de neige ? 

Homme des neiges, Cover Up millitaire, Ovni ? A nous d'en débattre !

Source : http://informateur.creerforums.fr/t26-col-de-dyatlov

Complément« J’avais 12 ans à ce moment-là, mais je me souviens de l’impact profond que l’accident a eu sur le public, malgré les efforts des autorités pour faire taire les parents et les enquêteurs», affirme Iouri Kuntsevich, directeur la Fondation Dyatlov basée à Iekaterinbourg, qui aujourd’hui essaie d’élucider le mystère.

Au fil des ans, beaucoup de personnes ont essayé de comprendre exactement ce qui s’était passé dans la nuit du 1er au 2 Février sur la pente du Kholat-Syakhyl.

http://minuit.forum-actif.net/t871-incident-du-col-de-dyatlov

Les sphères lumineuses : 

"In 1990, the chief investigator, Lev Ivanov, said in an interview that he had been ordered by senior regional officials to close the case and classify the findings as secret. He said the officials had been worried by reports from multiple eyewitnesses, including the weather service and the military, that “bright flying spheres” had been spotted in the area in February and March 1959. ("Le responsable de l'enquête Lev Ivanov a dit dans une interview, qu'il a reçu l'ordre par les officiels régionaux de clore l'affaire et de classifier les découvertes secrètes. Il dit que les officiels ont été bousculés par de multiples rapports, incluant les services météo et les militaires, que ces sphères brillantes avaient été vues en février et mars 1959")

“I suspected at the time and am almost sure now that these bright flying spheres had a direct connection to the group’s death,” Ivanov told Leninsky Put, a small Kazakh newspaper. He retired in Kazakhstan and has since died. ("J'ai suspecté tout ce temps et suis sûr maintenant que ces sphères brillantes ont une connexion directe avec la mort du groupe"... Il s'est retiré au Kazakhstan et ensuite il est mort.)

The declassified files contain testimony from the leader of a group of adventurers who camped about 50 kilometers south of the skiers on the same night. He said his group saw strange orange spheres floating in the night sky in the direction of Kholat-Syakhl. (des fichiers déclassifiés contiennent le témoignage du leader d'un groupe d'aventuriers qui campaient à 50 kilomètres au sud des skieurs la même nuit. Il dit que son groupe a vu d'étranges sphères oranges (ça rappelle ce que beaucoup voient en ce moment, sauf que ça date de 1959 !) flotter dans le ciel nocturne en direction du Kholat-Syakhl).

Ivanov speculated that one skier might have left the tent during the night, seen a sphere and woken up the others with his cries. Ivanov said the sphere might have exploded as they ran toward the forest, killing the four who had serious injuries and cracking Slobodin’s skull. (Ivanov spécule qu'un skieur pourrait avoir quitté la tente durant la nuit, vu une sphère et alerté les autres avec ses cris. Ivanov dit que les sphères pourraient avoir explosé quand ils se sont enfuis vers la forêt, tuant les quatre qui avaient de sérieuses blessures et fêlé le crâne de Slobodin).

Yury Kuntsevich, responsable d'une association qui veut toute la vérité sur ce cas, et qui a vu les cadavres, a constaté de visu la teinte brunâtre des visages des cinq premières victimes et des témoignages sur un taux de radiations élevées sur les vêtements. De plus, une expédition sur les lieux assez récente aurait trouvé et ramené un morceau de métal du lieu : les intéressés penchent pour l'utilisation d'une arme secrète soviétique, en 1959, ou d'un système de défense (automatique ?) spécial...

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For The St. Petersburg Times - A metal fragment from Igor Dyatlov’s Pass that Kuntsevich believes to be evidence in the case

Yves Herbo pour les quelques traduction - SFH 07-2012

 

Source(s) : Blog de Rusty James, http://www.sptimes.ru


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