« La technostructure socialiste et certains intérêts financiers, tels que David de Rothschild, ont tout misé sur Macron pour créer l’Europe fédérale par la dette et par la guerre. »
Régis de Castelnau et Xavier Poussard lèvent le voile sur les réseaux qui ont servi à fabriquer Emmanuel Macron et à le porter à la présidence de la République.
L’élection d’Emmanuel Macron a été intégralement programmée depuis les années 2010, et voici comment. En trois quarts d’heure chrono, Régis de Castelnau et Xavier Poussard ont tenté de dresser une liste non exhaustive des zones d'ombres autour du parcours de Jupiter.
Lors de son examen oral à l’ENA, il esquive une question — faute rédhibitoire en temps normal. Il est reçu et sort même « dans la botte » de la promotion Senghor, année au cours de laquelle, pour la seule et unique fois dans l’histoire, le classement de la promotion a été annulé à la suite des protestations de ses camarades. Cela ne l’empêche pas d’intégrer l’Inspection générale des finances, avant de quitter la haute fonction publique pour la banque Rothschild, après avoir obtenu une exemption inexpliquée de la procédure obligatoire de disponibilité de dix ans dans le service public. Là, il devient le plus jeune associé-gérant de l’histoire de la banque, non sans susciter des interrogations de la part de ses collègues. Interrogations balayées par David de Rothschild, qui invoque une « connexion directe » avec le Mozart de la finance. Ce même David de Rothschild lui conseille très tôt de ne pas suivre Dominique Strauss-Kahn et de lui préférer François Hollande, à « acheter au rabais ».
S’ensuit une réunion secrète entre Bernard Attali, dont les connexions avec la CIA ne sont plus à prouver, et François Rebsamen, proche de Hollande, en vue des présidentielles de 2012. Le frère de Jacques assure son soutien à Hollande à une unique condition : nommer Emmanuel Macron au poste de secrétaire général de l’Élysée. Au même moment, Jake Sullivan, conseiller démocrate lié à la CIA, affirme aux élites américaines qu’Emmanuel Macron est « l’homme à suivre », alors qu’il est encore totalement inconnu du grand public. Enfin, on apprend que la non-candidature de François Hollande en 2017 est moins le fruit d’une résignation individuelle que celui de visites persuasives de l’État profond. On connaît la suite...
Toutes ces informations sourcées amènent Xavier Poussard et Régis de Castelnau à conclure qu’Emmanuel Macron a été porté au pouvoir dans un objectif précis : détruire la France et la vendre tout entière au projet néolibéral. Politiquement, cela se traduit par l’idée suivante, exprimée par l’auteur de Devenir Brigitte : « L’élection de Macron a eu vocation à maintenir l’État PS en le masquant par les ralliements des traîtres à droite. ». Mais ce projet va beaucoup plus loin : la création d’un État fédéral européen à la tête duquel Emmanuel Macron semble tout désigné pour se hisser, à l’aide de ses réseaux financiers et institutionnels. Voilà qui donne une dimension nouvelle à son affirmation bien connue, selon laquelle « il est compliqué de reconstruire quand tout n’a pas été détruit. » Et pour cela, la dette et la guerre sont deux prétextes plus que bienvenus !
🚨 Whitney Webb tire la sonnette d’alarme sur l’ID numérique :
— Planetes360 (@Planetes360) September 23, 2025
« Si les gens ne se soumettent pas, le projet échouera.
C’est la pierre angulaire de l’Agenda 2030 de l’ONU.
Sans ID numérique, la monnaie programmable et traçable ne peut pas fonctionner.
Tout ce qu’ils préparent… pic.twitter.com/wWnDsNq3Nu
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