Si vous ne voulez pas perdre votre âme il faudra comme pour la thérapie génique Covid refuser toutes ces technologies, dès lors les écritures nous ont apprise le sort qui nous sera réservé, mais il faudra lutter au prix de sa vie actuelle, pour préserver son âme dans l'haut delà.
L'esprit de ruche. Le collectif. L'hyperréalité. Les Borgs. La RAND Corp. est un groupe de réflexion étroitement associé à la Commission trilatérale depuis 1973, produisant des études comme celle-ci. Tous les chemins mènent à l'armée, qui cherche à créer le "super soldat" parfait, un peu comme le "Superman" d'Hitler. L'armée est remplie de technocrates narcissiques dont le Saint Graal est et a toujours été de "maîtriser le domaine humain". La RAND montre la voie :
Étant donné l'intégration directe de la technologie dans les fonctions cognitives, physiques et psychologiques de l'homme, des niveaux importants d'augmentation humaine peuvent "[brouiller] les notions d'identité et de ce que cela signifie d'être humain", en introduisant de nouvelles lentilles normatives sur l'humanité et en produisant de nouveaux stigmates pour ceux qui ne sont pas perçus comme atteignant ces normes. (p. 59, 4.5.3 Implications culturelles)
- Technocracy News & Trends Editor Patrick Wood
Par : via The Sociable
L'écosystème de l'Internet des corps pourrait déboucher sur l'Internet des cerveaux entre 2035 et 2050, selon un rapport RAND commandé par le ministère britannique de la défense.
Commandée par le laboratoire des sciences et technologies de la défense britannique et réalisée par RAND Europe et Frazer Nash Consulting, l'étude "Cultural and technological change in the future information environment" examine six technologies et environnements d'information et leurs implications pour la défense britannique.
Ces technologies et environnements sont les suivants
- Les systèmes d'information automatisés
- Un métavers virtuel
- La réalité augmentée et mixte
- Connectivité avancée
- L'augmentation humaine
- la sécurité de l'information.
Le transhumanisme, c'est-à-dire la fusion de l'homme et de la machine, est un thème majeur de ces environnements d'information.
Selon le rapport, "les progrès en matière de connectivité des objets pourraient à terme s'étendre aux corps humains". Les chercheurs qualifient d'"internet des corps" le développement potentiel d'un réseau de dispositifs connectés à l'internet et recueillant les données biométriques des utilisateurs finaux [...] Un "internet des corps" pourrait également déboucher sur un "internet des cerveaux", c'est-à-dire des cerveaux humains connectés à l'internet pour faciliter la communication directe de cerveau à cerveau et permettre l'accès à des réseaux de données en ligne".
L'internet des corps et le futur internet des cerveaux entrent spécifiquement dans la catégorie des "technologies d'augmentation humaine", qui "se réfèrent aux technologies qui améliorent les capacités humaines, soit physiquement, soit cognitivement".
Selon le rapport, les applications technologiques les plus associées à l'augmentation humaine sont les suivantes :
- Les dispositifs portables et les implants pour le suivi et l'analyse des données physiologiques et environnementales (par exemple, les biopuces et les capteurs implantables). Ces technologies visent à assurer un suivi continu et en temps réel des données physiologiques afin de comprendre l'état de santé et les performances de l'être humain.
- les technologies d'augmentation sensorielle, telles que les implants auditifs et rétiniens, conçues pour améliorer ou augmenter les activités sensorielles, en particulier la vision et l'audition. Les prothèses intelligentes constituent une catégorie connexe, notamment les exosquelettes, c'est-à-dire les combinaisons robotisées pour l'ensemble du corps qui renforcent les capacités physiques des utilisateurs finaux et améliorent leur mobilité, leur force, leur endurance et d'autres aptitudes.
- les interfaces cerveau-ordinateur ou cerveau-cerveau qui établissent des communications directes entre le cerveau humain et/ou les dispositifs informatiques.
Le Neuralink d'Elon Musk est le dernier exemple en date d'interface cerveau-ordinateur qui a fait couler beaucoup d'encre pour avoir aidé un homme paralysé, mais que se passe-t-il lorsque l'augmentation humaine passe du stade de la guérison à celui de l'amélioration ?
Le transhumanisme peut déboucher sur des capacités surhumaines, mais ces capacités pourraient être réservées à une classe sélectionnée, tandis que le reste d'entre nous, plèbe programmable, pourrait exister dans un état constant de surveillance et de contrôle jusqu'à ce que nous devenions inutiles.
Selon le rapport, "si certains experts prédisent une amélioration tactique des capacités humaines, d'autres ont exploré l'émergence potentielle du "transhumanisme" à l'horizon 2050".
Ce concept décrit "une nouvelle forme d'humain (un trans-humain) [...] où les technologies de l'information et de la communication et la biomédecine amélioreront fondamentalement la condition humaine et renforceront considérablement les capacités intellectuelles, physiques et psychologiques de l'homme".
Les élus pourraient bénéficier d'une amélioration des performances humaines qui leur donnerait la capacité de ne jamais se fatiguer, de penser plus intelligemment, de se déplacer plus rapidement, de sauter plus haut, de voir plus loin, d'entendre mieux, de frapper plus fort, de vivre plus longtemps, de s'adapter plus fortement et de calculer plus rapidement que n'importe quel autre être humain sur la planète.
Pendant ce temps, la quatrième révolution industrielle fusionne déjà nos identités physiques, biologiques et numériques afin de surveiller, de manipuler et de reprogrammer notre comportement.
Si et quand les humains seront totalement intégrés aux machines à grande échelle, où s'arrêtera la technologie et où commencera l'humain ?
Exemples d'Internet des corps, RAND Corporation 2020
Les auteurs du rapport de la RAND affirment que "compte tenu de l'intégration directe de la technologie dans les fonctions cognitives, physiques et psychologiques de l'être humain, des niveaux importants d'augmentation humaine peuvent "brouiller les notions d'identité et de ce que signifie être humain", en introduisant de nouvelles lentilles normatives sur l'humanité et en produisant une nouvelle stigmatisation pour ceux qui ne sont pas considérés comme atteignant ces normes".
Au niveau individuel, si vous souhaitez rester un humain naturel et ne pas faire partie de l'"Homo sapiens technologicus", vous risquez de ne pas pouvoir être compétitif sur le marché du travail et de faire partie de la classe d'humains inutiles.
Au niveau international, les pays, les cultures et les communautés qui ne participent pas à l'expérience transhumaniste risquent d'être facilement conquis par ceux qui y participent.
Le rapport ajoute : "La dynamique sociale de l'adoption de l'augmentation humaine peut inclure des disparités dans l'accès aux technologies pertinentes, introduisant ainsi de nouvelles formes d'exclusion numérique par lesquelles les personnes économiquement défavorisées ne peuvent pas accéder au même niveau d'amélioration que les autres segments de la société".
Dans le même temps, les êtres humains naturels qui ne sont pas équipés de puces peuvent avoir l'avantage de ne pas être aussi facilement manipulés et contrôlés par des pensées ou des souvenirs qui ne sont pas entièrement les leurs.
En d'autres termes, le transhumanisme pourrait déboucher sur des capacités surhumaines pour certains, et sur le contrôle de l'esprit pour d'autres.
La manipulation et le contrôle sont d'autres sujets de préoccupation liés à l'augmentation humaine, à l'Internet des corps et à l'Internet des cerveaux.
De fausses informations, images, sons, souvenirs et pensées pourraient un jour être téléchargés dans ces dispositifs et téléchargés dans le cerveau humain, avec un effet dévastateur.
Selon le rapport, "les technologies sensorielles (par exemple les implants auditifs), en particulier, comportent un risque d'interférence, les dispositifs pouvant être manipulés pour fournir des informations erronées à l'utilisateur final.
"Une telle manipulation des données sensorielles amplifierait considérablement les menaces actuelles liées à la création artificielle ou à la manipulation d'informations visuelles et auditives (images et vidéos, par exemple).
"Par conséquent, l'augmentation humaine pourrait compromettre la sécurité cognitive des utilisateurs finaux et influencer leur capacité à évaluer la crédibilité des informations qu'ils reçoivent lorsqu'ils utilisent des technologies d'augmentation humaine."
Tiré de Technocracy News & Trends
