Manuel Valls va créer une brigade de lutte contre la haine sur Internet...

Le plus drôle là-dedans, ou le plus tragique (parce que souvent ça va de pair), ce n'est pas l'indifférence généralisée, c'est le fait que les vrais terroristes (pas les guignols derrière leur écrans), les vrais terroristes donc, ont des costumes cravates et travaillent à l'Elysée... (Vidéo ci-dessous). Et reçoivent leurs ordres directement de Washington.... Parce que la petite milice à Manu, à côté des commandos d'Archers de Barrack Obama, ce sont des petits rigolos....

Vous voyez, la réalité est assez pathétique au final... Eh oui, toujours et ENCORE le manque de courage...

Et les vieilles ficelles usées jusqu'à la MOELLE... (Enfin, ça marche à chaque fois, alors...)

Et VOUS, dans tout ça... ? Vous restez bien calme et vous attendez que ça ...« passe... » ?

Ça tombe bien ! C'est exactement ce qu'ils veulent.... Étonnant non ? (Informations complémentaires)

Qui ont des oreilles entendent....

(Et ça, c'est pas de la haine, c'est de la solidarité humaine face à des prédateurs en bande organisée....)

Bien à vous, ; )

f.

L'« unité nationale de lutte contre la haine sur Internet » devrait être mise en place cet été, dans le cadre du plan de lutte contre le racisme et l'antisémitisme présenté par le premier ministre.

Manuel Valls avait promis de lutter contre le racisme et l'antisémitisme en ligne : il doit maintenant nommer ses soldats. Le Premier ministre va mettre en place son «unité nationale de lutte contre la haine sur Internet» dès cet été, d'après les informations du site NextInpact. Cette nouvelle équipe sera chargée de faire le lien entre les différents sites Web et les autorités dans le cadre de la surveillance et la surveillance des discours de haine en ligne. Elle pourra par exemple envoyer des recommandations ou des avertissements à Google, Facebook ou Twitter si ces derniers ne modèrent pas eux-mêmes les contenus jugés illégaux. Elle sera enfin chargée de créer et d'animer des «cyberpatrouilles» destinées à traquer les propos racistes ou antisémites afin d'enquêter sur leurs auteurs et éventuellement les présenter à la Justice.

Un «bataillon de community managers»

Les détails de l'organisation de cette brigade ne sont pas encore arrêtés. Une réunion à ce sujet doit se tenir à Matignon vendredi, selon NextInpact. Son but sera notamment de déterminer si cette unité doit être intégrée à Pharos, la plateforme de signalement des contenus illégaux en ligne du gouvernement. Cette dernière est actuellement animée par des policiers et des gendarmes de l'OCLCTIC, l'Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l'Information et de la Communication. Il s'agit aussi de décider si l'unité de lutte contre la haine sur Internet pourra envoyer des rappels à la loi aux auteurs des propos racistes ou antisémites.

 

Source : Lefigaro.fr

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Le dossier « Pegasus »

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