Cannes, Nouvel Obs : Les fillettes lesbiennes qui excitent les médias, c’est maintenant !

Petit à petit, ils  avancent leurs pions pour nous faire accepter leurs perversions.

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Alors que la palme d’or de Cannes a été décernée, à la grande satisfaction générale, à un film qui montre les rapports sexuels lesbiens d’une jeune fille mineure, le Nouvel Obs a publié un article hallucinant où est racontée de manière romanesque une sombre histoire de pédophilie entre une professeure et son élève. Les fillettes lesbiennes qui excitent les médias, c’est maintenant !

Aux États-Unis, le film « La Vie d’Adèle », qui montre de manière crue des rapports sexuels lesbiens entre deux adolescentes, sera vraisemblablement interdit aux moins de 17 ans et considéré comme un film érotique. En France on en fait un chef-d'œuvre du septième art. « La Vie d’Adèle » primé à Cannes (où DSK, Pierre Bergé, Frédéric Mitterrand et Roman Polansky sont reçus en grande pompe) : tout un symbole du délitement morale de notre société, où les repères sont détruits les uns après les autres.

Ainsi, un article scandaleux du Nouvel Observateur (et toujours en ligne !), rédigé par les soins du journaliste François Caviglioli, nous raconte avec une complaisance non assumée (voir la fin de l’article), comment une enseignante de 30 ans a eu des rapports sexuels avec une fillette de 13 ans. Sans doute parce qu’il s’agit de rapports lesbiens, le journaliste a eu l’air de trouver l’affaire excitante.

Pour mieux comprendre ce scandale et pour réaliser l’état psychologique et idéologique des journalistes qui ont assuré le service après vente de la loi sur le mariage pour tous pendant 6 mois, rien ne saurait remplacer les mots mêmes de l’article.

Pour commencer, le titre qui a réellement été choisi par le Nouvel Observateur pour raconter ce fait divers sordide. « Yasmine, 12 ans, et sa prof, 30 ans : récit d’une passion interdite » (SIC). On vous laisse déguster la suite :

« Au début, c’est une danse pédagogique. Elle s’adresse à l’ensemble de ses classes. Mais bientôt, Mme Amadéo ne va plus danser que pour l’élève qu’elle a élue entre toutes. C’est une danse nuptiale. Elle est destinée à la jeune Yasmine qui ne le sait pas encore : elle a 12 ans. Mais elle regarde de tous ses yeux cette chorégraphie qui se fait de jour en jour plus sensuelle.

[...]

Mme Amadéo envoie à Yasmine un premier texto où elle l’assure de son amitié. La jeune élève est d’abord stupéfaite. Elle n’a pas l’habitude de telles attentions. [...] Les SMS de Mme Amadéo lui apportent ce qu’elle n’a jamais connu, une confiance en elle, et la métamorphosent peu à peu. Bientôt ils passent de l’amitié à l’affection. L’enseignante exaltée redécouvre les méandres et la géographie de la carte de Tendre. Après l’affection, l’estime, l’inclination pour finir au bout de deux ans par les appels du désir et tous les désordres de la passion.

[...]

Yasmine se laisse aimer et désirer. Elle apprend l’algèbre des sentiments, les exigences et les égarements du corps. Ce qui devait arriver arrive : un saphisme sans violence, mais aussi un amour condamné, une relation que les deux amantes savent maudite. Elles se retrouvent au domicile de l’enseignante, mais leur ardeur et leur impatience sensuelle sont telles qu’elles ne craignent pas de se livrer à l’intérieur du collège à des étreintes furtives pimentées par le risque d’être surprises. »

Évidemment, à la suite de son article répugnant et des commentaires indignés, le journaliste a dû écrire une note aux lecteurs, pour se justifier et nous jurer qu’il n’a fait que décrire l’affaire sans poésie aucune et qu’il ne fait pas l’apologie de la pédophilie. Encore une fois, les mots se passent de commentaires :

« NOTE AUX LECTEURS

 

Chercher à éclairer ce qui s’est passé entre cette collégienne et cette enseignante, tenter d’expliquer la nature d’une relation, même si la loi la réprime, n’est pas faire l’éloge de la pédophilie. Ceux qui savent encore lire ne me font pas ce reproche. Dans ce quartier de Lille-Sud dont les habitants se plaignent d’être abandonnés, et dans un collège où il est difficile d’accorder à chaque enfant l’attention qu’il mérite, une jeune élève s’est sentie pour la première fois exister sous le regard d’une enseignante qui ne ressemblait pas aux autres. La suite est l’affaire de la justice, mais je ne suis ni législateur, ni magistrat. »

On attend avec impatience que monsieur Caviglioli nous raconte les « passions interdites » d’Émile Louis, de Marc Dutroux ou de Michel Fourniret…

Que ceux qui pensent encore que l’idéologie libérale libertaire du « jouir sans entrave » progressiste de mai 68 (avec sa conséquence du moment, le mariage et l’adoption pour les homosexuels), ne conduit pas à la légitimation de la pédophilie, retournent voir les pétitions pro-pédophilie publiées, entre autres, dans le Nouvel Obs dans les années 80 et signées par les mêmes artistes engagés de gauche qui nous vendent aujourd’hui le mariage pour tous (articles sur le sujet à consulter , ou ) !

 

Source(s) : 24heuresactu.com, Leschroniquesderorschach.blogspot.fr

 


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