Après avoir récolté quelques 600go de données de sniffage Wifi, Google s'apperçoit qu'il y avait dedans des bribes d'Emails et mots de passe, comme c'est bizarre... Ils bossent dans quoi eux déjà ? N'oubliez pas que dans chaque logiciels Google installé, de Chrome au moindre plugin se cache une taupe... Utilisez Mozzila Firefox de préférence comme 60 % des lecteurs de Crashdebug, si ce n'est déjà fait !
Google car
Avec Google et son moteur de recherche, on pouvait déjà retrouver vos photos de soirées endiablées. Désormais, Google peut aussi enregistrer des mots de passe de boîtes mail !
Qu'on se rassure, rien n'est disponible publiquement évidemment. Mais comment le géant du Net a pu stocker de telles données confidentielles ?
1. Quand Google référence les réseaux WiFi
Dans le cadre de son site Google Street View, l'entreprise photographie avec une voiture spécialement équipée les rues de nos villes (presque) partout dans le monde.
Ces mêmes voitures enregistrent aussi les réseaux WiFi qu'elles croisent. Un des buts avancés par l'entreprise est de cartographier les réseaux gratuits d'accès au Web.
Sauf que certains particuliers ne protègent pas assez leur réseau WiFi. Résultat, les données qu'ils envoyaient sur le Web comme les mots de passe des boîtes mail pouvaient être captées par les voitures Google.
2. Google mis en demeure
C'est qu'a pointé la Cnil (Commission nationale informatique et libertés) dans son rapport d'activité dévoilé hier.
La Commission a noté que l'entreprise a "enregistré des mots de passe d'accès à des boites mail, à l'insu des personnes" ainsi que "des extraits de contenus de messages électroniques", données obtenues après une mise en demeure.
Mais la Cnil estime qu'"il est donc encore trop tôt pour se prononcer sur les suites" de l'affaire.
3. "Un dysfonctionnement" corrigé
Joint par Le Post, Google France se défend. L'entreprise affirme que ces "bribes d'information" ont été "malcontreusement enregistrées" suite à un "dysfonctionnement" dans le "logiciel" des voitures circulant dans les rues. Bug corrigé "dès que le dysfonctionnement a été identifié" selon la société.
Elle ajoute s'être mise "en rapport" avec la Cnil et travailler "en ce moment même avec eux pour répondre à toutes les questions qu'ils se posent".
"Notre objectif ultime est d'effacer les données” en question, précise-t-on encore.
Google Street View avait déjà entraîné une controverse en Allemagne. L'enregistrement des réseaux WiFi ayant été aussi contesté par le commissaire fédéral chargé de la protection des données, équivalent outre-Rhin de la Cnil.
Selon ITespresso, les autorités aux Etats-Unis, au Canada et en Australie.
Qu'on se rassure, rien n'est disponible publiquement évidemment. Mais comment le géant du Net a pu stocker de telles données confidentielles ?
1. Quand Google référence les réseaux WiFi
Dans le cadre de son site Google Street View, l'entreprise photographie avec une voiture spécialement équipée les rues de nos villes (presque) partout dans le monde.
Ces mêmes voitures enregistrent aussi les réseaux WiFi qu'elles croisent. Un des buts avancés par l'entreprise est de cartographier les réseaux gratuits d'accès au Web.
Sauf que certains particuliers ne protègent pas assez leur réseau WiFi. Résultat, les données qu'ils envoyaient sur le Web comme les mots de passe des boîtes mail pouvaient être captées par les voitures Google.
2. Google mis en demeure
C'est qu'a pointé la Cnil (Commission nationale informatique et libertés) dans son rapport d'activité dévoilé hier.
La Commission a noté que l'entreprise a "enregistré des mots de passe d'accès à des boites mail, à l'insu des personnes" ainsi que "des extraits de contenus de messages électroniques", données obtenues après une mise en demeure.
Mais la Cnil estime qu'"il est donc encore trop tôt pour se prononcer sur les suites" de l'affaire.
3. "Un dysfonctionnement" corrigé
Joint par Le Post, Google France se défend. L'entreprise affirme que ces "bribes d'information" ont été "malcontreusement enregistrées" suite à un "dysfonctionnement" dans le "logiciel" des voitures circulant dans les rues. Bug corrigé "dès que le dysfonctionnement a été identifié" selon la société.
Elle ajoute s'être mise "en rapport" avec la Cnil et travailler "en ce moment même avec eux pour répondre à toutes les questions qu'ils se posent".
"Notre objectif ultime est d'effacer les données” en question, précise-t-on encore.
Google Street View avait déjà entraîné une controverse en Allemagne. L'enregistrement des réseaux WiFi ayant été aussi contesté par le commissaire fédéral chargé de la protection des données, équivalent outre-Rhin de la Cnil.
Selon ITespresso, les autorités aux Etats-Unis, au Canada et en Australie.
A lire sur LePost.fr :
- Rapport de la CNIL: carton rouge pour Facebook, Acadomia et Google Street View
- Google référence les réseaux Wifi en Allemagne: "Nous le faisons aussi en France"
- Rapport de la CNIL: carton rouge pour Facebook, Acadomia et Google Street View
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A lire sur le web :
- "Ces dossiers qui ont continué de préoccuper la Cnil en 2009" (01Net)
- "Google Street View : la CNIL hausse le ton" (ITespresso)
- "Google Street View, Swift et la vidéosurveillance au menu de la Cnil" (LeMonde.fr)
Source : Le Post