Une fondation rachète les masques hopis et apaches pour les rendre aux tribus

Bonjour ! Je continue sur l’actu internationale que je n’ai pas eu le temps de traiter hier. ... (Maître Confucius) m’envoie plein d’infos, plus alarmantes les unes que les autres, et je n’ai pas le courage de toutes vous les passer. Mais il en passe aussi une partie dans le chat (en étant sur Accueil : The Black Hole) sur la gauche du blog (qui est libre d’accès, je vous le rappelle). Ces informations allument en moi une petite lumière rouge, qui ne signifie rien de bon. Enfin je vous ai traduit un article de Zero Hedge qu’il m’a pointé, que je vous passerai plus tard, et qui devrait définitivement vous éclairer sur la situation actuelle.

Dans la série des bonnes nouvelles, on a fait un échange de liens avec les Brindherbes engagés. Si vous ne connaissez pas leur blog, je vous conseille d’aller le visiter, leur icône est maintenant sur la droite du site, et ils couvrent pleins de domaines qui pour nous sont annexes, mais qui revêtent aussi une importance cruciale ; )

Du reste, je vous l’avoue, en ce moment on parle beaucoup, beaucoup, d’argent, de monnaies, de financements, etc.

Mais comprenez bien que c’est le « nerf » de la guerre, aussi il faut tenter de comprendre au mieux ces secteurs de l'économie, car ils influencent tout les autres...

Et ils peuvent aussi le faire de manière positive, la preuve…

Bien à vous ; )

L’Amourfou.

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Le masque "Mère Corbeau" vendu le 9 décembre à Drouot. © Arnaug Guillaume / AFP

La fondation américaine Annenberg a acheté aux enchères à Paris les masques hopis et apaches San Carlos, dont la vente était controversée, afin de les rendre à leurs tribus amérindiennes, a-t-elle annoncé dans un communiqué reçu mercredi à Paris. La fondation privée, basée à Los Angeles, a déboursé 530.000 euros pour acquérir 21 masques hopis et 3 masques apaches San Carlos, considérés comme sacrés par ces tribus de l'Arizona. La semaine dernière, l'association de défense des peuples aborigènes Survival International avait tenté d'empêcher la vente à l'hôtel Drouot en assignant en justice la maison d'enchères EVE devant le tribunal de grande instance de Paris. Mais elle avait été déboutée. Samedi, l'ambassade des États-Unis à Paris avait demandé en vain à la maison d'enchères EVE de suspendre la vente. La vente s'est déroulée lundi dans une atmosphère active, notamment au téléphone avec un enchérisseur s'exprimant en anglais. Mais rien n'avait filtré sur l'identité de l'acheteur.

 

Source : Lepoint.fr

 


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