Rentrée scolaire : six conseils pour réduire la facture

On est déjà le 20 août, aussi on se rapproche de la rentrée et de son cortège de préparatifs, dont la fameuse liste de fournitures scolaires qui fera fondre votre carte bancaire. Aussi, afin de passer cette épreuve, j’ai pensé que quelques conseils seraient utiles... ; )

Pour le reste, j’ai fini la traduction d’Exo-Vaticana 8, il est en correction chez Chalouette, et je vous le passerai dans la journée,

 

Bien à vous,

 

L’Amourfou

 

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Si vous emmenez vos enfants faire les achats de rentrée, prévoyez dans votre budget un article coup de
cœur, comme un cartable à la mode ou une trousse de marque, et restez ferme sur le reste.
| (LP/Aurélie Aurdureau.)

Il existe plusieurs moyens pour réduire le coût de la rentrée scolaire. Exemples.

1 Etablissez un plan de bataille. Avant de se ruer dans le premier hypermarché, les plus aguerris des chasseurs de cahiers conseillent de… réfléchir. « Il faut déjà se familiariser avec la liste, bien faire le compte des quantités dont on a besoin et s’assurer que ce qui est demandé existe véritablement dans le commerce ! » recommande Patric Marets, le d’une association qui chapeaute, depuis dix ans, l’achat des fournitures scolaires pour 300 familles d’Ensisheim, en Alsace.

On peut aussi commencer ses courses… en fouinant dans les placards de sa propre maison. Un cahier à peine entamé l’an dernier peut facilement vivre une seconde année, de même que les restes de feuilles de papier millimétré ou de copies doubles.

2 Choisissez vos compagnons de courses. Faut-il, ou pas, embarquer les enfants dans cette galère ? La question divise jusque dans les hautes sphères. Le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, a choisi son camp : « L’acquisition des fournitures scolaires doit constituer un moment d’éducation à la consommation », recommande-t-il. Reste que la leçon peut coûter cher aux parents d’enfants ivres de douleur à l’idée de ne pouvoir arborer à la rentrée cette trousse de marque si joliment mise en scène en rayon. Dans ce cas, mieux vaut prévoir à l’avance dans son budget sur quel article on peut se permettre un coup de cœur, et rester ferme pour le reste.

3 La papeterie du coin, efficace et moins chère qu’on ne le croit. Souvent, les commerçants de quartier connaissent les besoins des établissements voisins et s’approvisionnent en conséquence. Beaucoup offrent d’ailleurs des services « bonus ». Les franchises Bureau Vallée ou Plein Ciel, notamment, proposent de passer dans l’un de leurs magasins ou de déposer sa liste sur leur site , puis d’aller récupérer la commande au magasin ou de la livrer. Le tout sans frais supplémentaires.

4 Pensez aux ventes solidaires. Beaucoup d’associations de parents d’élèves organisent des bourses où on peut faire de vraies affaires. A Strasbourg par exemple, l’Unaape propose aux lycéens d’acheter leurs livres neufs « 18 % moins cher que dans le commerce », grâce au partenariat avec une librairie locale. Plusieurs communautés d’Emmaüs organisent aussi des ventes de matériel, partout en . En région parisienne, la prochaine se tiendra à Bernes-sur-Oise (Val-d’Oise) ce week-end*. D’autres infos sur www.facebook.com/jemmaus.

5 Jetez un œil sur Internet. Les sites de vente en ligne s’emparent de plus en plus du dossier « rentrée scolaire » et affichent des tarifs agressifs. Par exemple, sur Cdiscount.com, vous trouverez un survêtement de marque dès 9,99 €. Même Rueducommerce.com y dédie un onglet. On y trouve des cahiers de musique, 48 pages, à 1,99 €, des cahiers de texte à spirale, 144 pages, à 6,99 €… Mais s’ils font parfois gagner de l’argent, les achats sur la Toile « ne font pas vraiment gagner de temps car il faut généralement écumer plusieurs sites pour compléter toute sa liste », constate la Confédération syndicale des familles (CSF).

6 Attention aux fausses promesses. Faire le plein de produits discount n’est pas forcément synonyme d’économies : un cahier qui présente un papier trop fin sera bon pour la poubelle en quelques semaines. De même, « on a constaté qu’un cahier avec une couverture plastifiée revient finalement moins cher qu’un cahier de base auquel il faut ajouter un protège-cahier solide, note Patric Marets. Les ventes par lots aussi peuvent se révéler trompeuses. C’est étonnant mais quelquefois, cela revient moins cher à l’unité. »

* 9, chemin Pavé à Bernes-sur-Oise (Val-d’Oise), les 24, 25 et 28 août, de 14 heures à 18 heures.

 

Source : Leparisien.fr

 


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