Résistance bactérienne : le cas inquiétant des Klebsiella

La logique du capital a encore frappé… Comme vous vous en doutez ça m’a encore énervé…

Je cherchais « stérilement » ce matin ce que voulait dire le terme « imipénémase » ou IMP pour qualifier les mutations de cette bactérie, en ce qui me concerne je pense avoir trouvé

Enfin… Soyez rassuré, d’après les autorités compétentes ces 3 morts sont dues à des pathologies diverses et ne sont pas dues à la présence cette bactérie « super résistante »,  sur la droite lignée d’Escherichia coli, qui posséderait à l’extrême certaines de ses protections naturelles aux antibiotique... C’est un pur « hasard… »

Dormez tranquille… D’ailleurs toutes les mesures ont été prises pour endiguer ce « trojan grec »… Et la logique extrême du capital a poussé les gérants de cet hôpital privé à réagir fortement en testant tous les malades (encore présents) pour détecter la trace du bacille, mais PAS le personnel qui est en première ligne… (ça doit vraiment coûter trop cher !). Elle est où la vraie logique là-dedans ?

Du reste, le fait que cette infection ait été déclarée à l’ETAT, et que cet « hôpital » de Massy ait déjà  « réussi » (avant la trêve estivale forcée) à mettre, de juin à juillet, 180 patients en contact avec cette souche grecque, n’est pas vraiment fait pour nous rassurer sur sa rigueur. D’autant que ces patients sont retournés en toute bonne foi parmi la population… Et qu’on leur dit maintenant, par téléphone, qu’ils ne risquent rien et que l’infection « part tout seul… »

Tout ça par laxisme et manque d’anticipation aux nouveaux enjeux viraux mondiaux coiffés d’un manque FLAGRANT de personnel…

Peut-on mettre en danger l’intégralité de la population française et tuer des gens sans sanctions ? Tout ça pour le culte de la rentabilité ?

Pour témoignage : J’ai un membre ma belle-famille qui a été touché par une infection nosocomiale, précisément dans CET « hôpital », suite à une opération au cœur, il en est MORT ! Paix à son âme…

Alors à l’inverse de ce que vous faites :

Arrêtez les dégâts ! Faites un exemple ! Fermez cet hôpital laxiste ! Traduisez les actionnaires coupables en justice !

La différence entre le public et le privé, c’est que les fonds de base ne sont pas les mêmes et les objectifs NON PLUS. Ceci explique CELA ! Le sens moral n’est lui pas IMPOSÉ, il est inné… Alors VOUS le public, à combien estimez-vous le prix de ces morts (et de ceux qui risquent d’advenir) ?

J’insiste sur le fait que cette bactérie est due au fait que certains pays et leurs populations utilisent trop généralement des antibiotiques à large spectre, plutôt que des traitements ciblés. Ceci provoque chez les bacilles une « adaptation » avec le temps, et c’est devenu un réel enjeu MONDIAL (qui à court terme, face à ces microbes, pourrait même nous renvoyer en 1929, avant l’invention de la pénicilline !)

Car, comme certaines souches E-coli, ces bactéries résistent quasiment à tout traitement, sauf 1 ou 2 antibiotiques, que l’on ne peut peut-être pas prescrire dans tous les cas… Surtout si les patients sont déjà affaiblis par d’autres pathologies. Comme d’habitude,  je ne suis pas médecin, mais à mon sens intervenir sur une chose aussi complexe qu’un système immunitaire ne me semble pas sans danger… Voire avec des effets de « bord » évidents pour le patient…

Utiliser de tels traitements extrêmes dans le cadre de compétence de cet « hôpital »  expliquerait « peut-être » ces décès « prématurés ».

D’autres part, d’après certains rapports, alors que l’on n’arrive, d’ores et déjà, pas à créer de nouveaux antibiotiques, l’industrie pharmaceutique se désintéresserait désormais totalement de ce secteur (seules armes contre ces fléaux), car il n’est pas assez rentable et ce serait des  « niches » médicamenteuses, ne représentant que trop peu de cas par an… C’est pour cela que certaines « parades » ou antibiotique (avéré efficace) sont très pragmatiquement RETIRÉ du marché par les labos

N’est-ce pas ce que l’on appelle un refus tacite d’assistance à personne en danger, pour raison économique ? (alors que l’on connaît la parade...). Qui sont les responsables de ce cirque bactériologique ? Qui laisse faire ça ? On est en plein Agenda 21 !

Dans le cadre de cette politique mondiale maçonnique, comme pour H1N1, faut-il y voir le motif : Action/Réaction  Illuminati, qui verrait le grand retour de Big Pharma pour nous vendre ses « solutions » antibiotiques à grande échelle et financer leurs chaînes de production ?

Posez-vous au moins la question…

Du reste, comme pour d’Escherichia coli, si nos amis mondialistes font joujou avec des bactéries ultra résistantes (dans ce cas précis Klebsiella pneumoniae comme quelques autres…), ils devraient peut-être se méfier. Ils pourraient bien provoquer une contamination qu’ils ne maîtriseront absolument PAS… Et à laquelle, cette fois-ci, ils ne pourront apporter providentiellement AUCUNE solution…

N'écoutez pas les médias ! Apparu en France en 2004 Klebsiella pneumoniae n’est pas une blague de type H1N1, documentez-vous

Ci-dessous un excellent article bien explicite de l’incontournable et citoyenne : Cécile Dumas de Sciences et Avenir, et les informations complémentaires avec les articles du Parisien.
 

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Une bactérie multirésistante aux antibiotiques a provoqué 18 cas d’infections nosocomiales et a entraîné le décès de 3 patients cet été dans l’hôpital privé Jacques-Cartier de Massy, dans l’Essonne, révèle aujourd’hui le quotidien Le Parisien.

Il s’agit d’une bactérie Klebsiella pneumoniae arrivée dans cet hôpital début juin avec une patiente rapatriée depuis la Grèce dans un état sévère.

Cette bactérie qui colonise le tube digestif et les poumons est déjà bien connue pour ses capacités de résistance aux antibiotiques. Klebsiella pneumoniae est naturellement résistante aux pénicillines (comme l’amoxicilline) et a acquis des résistances à d’autres catégories d’antibiotiques, comme l’acide clavulanique et les céphalosporines de troisième génération (commercialisées plus récemment). Des résistances sont même apparues depuis le début des années 2000 à une autre catégorie, qui demeure la dernière ligne de défense en cas d’échec des autres antibiothérapies : les carbapénèmes (imipénem..).

Enzymes contre antibiotiques

Les klebsielles sont en effet équipées de plasmides, un fragment d’ADN situé en dehors des chromosomes de la bactérie, qui produisent des enzymes s’attaquant aux antibiotiques. Ces enzymes, les bêta-lactamases, ont la capacité d’inactiver ou de détruire les molécules qui normalement s’attaquent à la paroi des bactéries, les bêtalactamines.
Cette guerre ne tourne pas en faveur des antibiotiques puisque les Klebsiella développent depuis 30 ans des enzymes résistantes à différents types de bêtalactamamines. On parle ainsi d’enzymes BLSE, pour «bêta-lactamases à spectre étendu». La première enzyme capable de bloquer les céphalosporines a été décrite en 1985 chez une Klebsiella pneumoniae. Une bêta-lactamase s’attaquant à l’imipénem a été isolée en Grèce en 2003 chez cette même espèce bactérienne.

Une bactérie résistante très répandue en Grèce

Pour les spécialistes de la résistance microbienne, l’ennemi est donc bien connu. Reste à lutter contre sa diffusion. En France, la Klebsiella pneumoniae représente 3,5% des microorganismes impliqués dans des infections nosocomiales (acquises à l’hôpital), selon les données de l’Institut de veille sanitaire (1). La proportion de souches résistantes de  K. pneumoniae aux céphalosporines de 3ème génération est comprise entre 10 et 25%, la proportion de souches résistantes aux carbapénèmes est inférieure à 1%, comme dans la plupart des pays européens.

C’est dans le sud et le sud-est de l’Europe que ces Klebsiella pneumoniae mutlirésistantes sont les plus répandues. Il n’est pas très surprenant que dans le cas de l’hôpital Jacques Cartier l’origine du microbe remonte en Grèce. Un précédent cas groupé d’infections nosocomiales survenu en 2004 en région parisienne due à K. pneumoniae provenait d’un patient transféré de Grèce. Dans ce pays, la proportion de souches de Klebsiella résistantes aux carbapénèmes est très élevé : il est de 37% (10% à Chypre, 3% en Turquie et en Bosnie, 2% en Italie), d’après le réseau de surveillance européen des résistances bactériennes (EARSS).

Pour tenter de limiter la propagation de cette bactérie depuis l’hôpital Jacques Cartier, l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France a décidé fin juillet de fermer le bloc opératoire pour les urgences cardiaques, rapporte Le Parisien. L’Invs a de son côté demandé l’envoi d’un courrier à toutes les personnes qui ont été hospitalisées cet été afin qu’elles soient vigilantes et qu’elles le signalent en cas de nouvelle prise en charge hospitalière.

Ces risques rappellent une nouvelle fois que l’usage des antibiotiques doit être maîtrisé et limité afin de réduire l’émergence des résistances bactériennes.

Source : Sciences & Avenir

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Agenda 21


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