Ufologie : les Secrets du TR3B ASTRA, un appareil secret americain

Un rassemblement d'informations sur les mystérieux prototypes de la série TR américaine, dont le TR3B, qui, du reste, n'en sont plus au stade de prototypes, puisqu'ils volent... Ne manquez pas le documentaire audio de Jean-Marc Roeder.

Update 30.06.2013 : Je tenais à préciser que Jean-Pierre Petit met en cause la véracité des propos de Jean-Marc Roeder (une autre personne me dit, elle, qu'il est totalement fiable) alors n'ayant pas assez de bases scientifiques pour le vérifier, plutôt que de vous supprimer l'article (et donc la parole à Jean-Marc Roeder), je préfère vous le préciser pour que vous preniez du recul. De toute façon, c'est comme tout, un jour ou l'autre on saura qui avait raison ; )

Update 16.03.2015 : Témoignage audio/vidéo sur le TR3B supprimé pas de backup et impossible de trouver une copie... (Je l'ai remplacé par une vidéo informative que je ne peut infirmer ou confirmer)

Update 25.07.2020 : L'unité OVNI top-secrète du Pentagone va informer le Sénat que des ex-officiels ont indiqués que des « véhicules ne venant pas de ce monde » ont été trouvés. (TMU)

Update 20.02.2021 : Le Pentagone affirme que les résultats des tests sur les épaves d'OVNI pourraient "changer nos vies pour toujours". (Dcclothesline.com)

tr3b.jpg

Science fiction ou fait, vous dites-vous ? Des officiers de haut rang détaillent l'étonnant cover-up du gouvernement effectué par le comité MJ-12, et révèlent pour la première fois des informations ultra top-secret au sujet de la technologie alien et de la technologie des reverseurs que nous avons développée à la suite des récupérations des épaves alien.


Le TR3B n'est PAS de la fiction et fut construit avec de la technologie disponible dans le milieu des années 1980 ou plus tôt. L'aérospace de forme triangulaire équipé d'un moteur nucléaire fut développé en dessous du programme Aurora avec le budget de l'argent noir.
 
Le programme Aurora est un programme top secret pour des véhcules avancés et a été responsable pour le développement du SR-75, avion hypersonique de reconnaissance qui a remplacé le SR-71, et le SR-74 Scramp, qui porte sur le dos le SR-75.
 
Le premier vol du TR3B, avion de reconnaissance tactique, eut lieu au début des années 90. La technologie a assuré l'utilisation de réverseurs utilisés à partir de la technologie alien aussi bien que des programmes SR-74 et SR-75.
 
Le revêtement extérieur du TR3B réagit à la stimulation électrique et peut changer de couleur, de réflexion, absorbe les ondes radar, rendant l'écho du véhicule semblable à un petit avion et lui permettant même de tromper les opérateurs radar sur la signature électronique de l'écho (plusieurs véhicules à différents endroits).

Un plasma circulaire accéléré dans un anneau appelé ”disrupteur du champ magnétique" entoure le compartiment de l'équipage et est loin en avant de la technologie imaginable.
 
Sandia et les laboratoires du Livermore ont développé la technologie des réverseurs MFD.
 
Le gouvernement protégera cette technologie à tout prix. Le MFD génère un vortex du champ magnétique qui disrupte ou neutralise les effets de la gravité sur la masse à proximité à concurrence de 89 pour cent. Ceci n'est pas de l'anti-gravité. L'anti-gravité fournit une force répulsive qui peut être utilisée pour la propulsion. Le MFD crée une disruption du champ magnétique de la terre sur la masse dans l'accélérateur circulaire. La masse de l'accélérateur et celle comprise dans l'anneau de l'accélérateur, telle la capsule de l'équipage et le réacteur nucléaire, est ainsi réduite de 90%.  Ceci rend le véhicule très léger et capable de performances et de manœuvres d’un niveau inouï (à l'exception bien sûr des UFO que nous n'avons pas construits).
 
Le TR-3 est une plate-forme de reconnaissance avec un temps de vol illimité. "Illimité", parce qu'il utilise un réacteur nucléaire comme source de puissance.
Beaucoup d'observations d'OVNI triangulaires sont ainsi connectées au TR3B.
 
La NSA, NRO, CIA, et USAF ont joué un jeu de camouflage avec la nomenclature aérienne - en créant le TR-3, modifié en TR-3A, le TR-3B, et le Teir 2, 3, et 4, avec des suffixes 'Plus' ou 'Moins', ajoutés pour rendre plus confus le fait que chacune de ces appellations est un avion différent et non le même véhicule aérospatial. Un TR3B est aussi différent d'un Teir 3B qu'une banane d'une grappe de raisin. Quelques-uns de ces véhicules sont munis d'un équipage et d'autres en sont démunis.
 
La propulsion du TR3B est fournie par trois propulseurs multimode montés sur chaque coin de la plate-forme. Le TR-3 est un véhicule qui ne dépasse pas Mach 9 et il atteint 33 kilomètres d'altitude et à cette altitude, seul Dieu peut savoir à quelle vitesse il va !
 
Au centre du triangle il y aurait un habitacle circulaire pour l’équipage. Et tout autour un accélérateur de particules à plasma : le MFD, (Magnetic Field Disrupter). Ce système serait en avance sur toutes les technologies connues sur Terre, il annulerait les effets de la gravitation et pourrait voler à Mach 9 (on pense toujours au cas belge !!!).

Selon Edgar Fouché, qui a travaillé pendant 25 ans dans la zone 51, tous les ovnis triangulaires seraient d’origine terrestre, mais ont été fabriqué grâce à la récupération de technologies extraterrestres. Les ovnis vus au dessus de la Belgique en 1990 seraient bien cet avion secret américain, suite à un accord ultra-secret entre la Belgique et les Etats-unis.

Source: http://membres.lycos.fr/ovnirama/armessecretes.htm

tr3b.jpg

L'engin le plus gros en Belgique faisait la taille d'un terrain de football.
Il ne sera pas facile de dire si cet engin était américain ou extraterrestre.

 

Pourquoi ?

Tout simplement parce que les Américains ont des engins volants triangulaires depuis 1965-1966. Le TR3-A et le TRA3-B, et le plus gros fait 92 mètres de côté.
Maintenant, quoi que disent certaines personnes, difficile de croire que les Américains se soient amusés à tester leurs engins au dessus de la Belgique, sachant de plus que la base 51, grand comme la Suisse, est déjà un terrain d'essai bien plus tranquille !

Voyez notre dossier sur LA VAGUE BELGE

http://www.ovni007.com/id118.html

Nous ne pensons donc pas que le triangle vu en Belgique soit américain, mais nous vous donnons tout de même les informations fournies par Jean-Marc Roder.

Voici des propos de Jean-Marc Roeder, ingénieur en aéronautique et optique pris sur
http://www.karmapolis.be/pipeline/interview_roeder.html

Le TR3B Astra a suffisamment été filmé au dessus de la Belgique, de la Russie, des USA, d'Israël et de l'Irak pour qu'il soit inutile de commenter son existence. Ayant pu m'entretenir, lors d'un salon aéronautique militaire, il y a quelques années, avec un membre du complexe militaro-industriel américain ayant travaillé sur les programmes Aurora et Astra, je me permets d'être assez précis dans la description des technologies utilisées sur ces appareils. Je pense que la majorité, voire peut-être la totalité, des observations avérées "d'ovnis" triangulaires d'avant 1988 sont soit des avions classiques, soit des protos secrets de dirigeables militaires en forme de delta. Le premier de ces dirigeables hybrides secrets de la Navy fut mis en service au milieu des années soixante.

Jusqu'en 1968, les chercheurs de la MAJI  utilisaient la relativité générale étendue d'Einstein, publiée en 1928 (qui prévoit pour la première fois la possibilité d'annuler la masse et l'inertie sans dématérialisation), tout en échouant à pouvoir comprendre et reproduire les technologies des ovnis extraterrestres capturés à San Diego, Roswell, Kingman et probablement ailleurs. A partir du milieu des années 50, on délégua une partie de la recherche anti-G à l'industrie militaire privée, sans toutefois lui transmettre l'outillage théorique et les technologies développés dans les labos MAJI. En 1971, la section militaire du Lawrence Livermore Laboratory réussit péniblement à pondre un complexe "bricolage" mathématique à partir du modèle quantique standard permettant de reproduire partiellement la propulsion de certains des ovnis capturés (lorsqu'on utilise une physique fausse, il ne faut pas attendre de miracles !). En gros, ce modèle théorique postule qu'une inversion de la température quantique statistique dans un système d'atomes inverse (autrement dit, annule) le signe de masse et d'inertie du système. Cet effet, baptisé par le Pentagone « Magnetic Field Disruption (MFD) », est utilisé dans les quatre moteurs des célèbres "triangles belges". Le "triangle belge" n'est pas un ovni mais un prototype hybride primitif (antigravitationnel et EMHD), développé en 1986 par les firmes Lockheed Martin et Boeing, portant le nom de TR3B Astra. Notez que "l'ovni" de Gulfbreeze en Floride utilise un moteur MFD (plus sophistiqué). Il s'agit en fait d'un successeur plus petit et biplace du TR 3B et de l'ARV Flux Liner.

Selon ce que j'en sais, le premier véhicule antigravitationnel américain, destiné au vol spatial, vola en 1954 sous le nom d'ARV Flux Liner (Antigravity Research Vehicle). Le second fut une copie d'un ovni capturé en 1954 à Kingman en Arizona. Il semble avoir volé pour la première fois au milieu des années 80 (en même temps que le TR3B) sous le nom de TR3A Sportster. Le TR3A a été utilisé au moins une fois au combat, durant la guerre du golfe en 91, contre une division blindée de la garde républicaine au sud de l'Irak. Il semble, sans certitude absolue, que le TR3B Astra ait aussi été utilisé pour détruire une ou plusieurs rampes de missiles Scud en 91. Le Pentagone n'a nul besoin de tels engins pour une guerre classique. Toutefois, l'occasion faisant le larron, ils ont probablement profité de la guerre du golfe pour tester la plupart de leurs "gadgets" les plus secrets. Quand à l'usage militaire des véhicules antigravitationnels, il est très clair : l'arme absolue pour la guerre spatiale et l'outil parfait pour coloniser militairement, dans le plus grand secret, le système solaire à l'insu du complexe spatial civil limité à ses archaïques fusées chimiques et à ses budgets scientifiques de misère !

tr-3b_2.jpg

 

 

Voir aussi:

 

Une vidéo aux USA d'un possible TR3B :


 

Les secrets du TR3B "Astra" :

Les systèmes internes de l'Astra peuvent se découper en trois catégories bien distinctes. Premièrement, sa source d'énergie qui est fournie par des réacteurs nucléaires. Deuxièmement, son système de propulsion antigravitationnel qui annule la masse et l'inertie de l'appareil et assure sa propulsion verticale. Troisièmement, son système de propulsion électromagnétohydrodynamique (EMHD) qui assure sa propulsion horizontale ainsi que la génération de ses faisceaux plasma de combat.

Le TR3B Astra a besoin pour fonctionner d'environ 600 mégawatts d'énergie électrique. Chaque réacteur nucléaire (voir encadré 1) ne pouvant produire qu'un maximum de 220 mégawatts, l'Astra est équipé de trois réacteurs nucléaires placés l'un à la suite de l'autre dans une enceinte en forme d'anneau torique. De la vapeur de sodium, issue d'un premier réacteur, pénètre dans un deuxième réacteur où elle est à nouveau chauffée et accélérée. En restituant son énergie sous forme d'électricité dans le tunnel MHD du second réacteur, la vapeur de sodium se refroidit et ralentit avant de pénétrer dans le troisième réacteur. L'enceinte contenant les trois réacteurs étant en circuit fermé, ce processus se répète indéfiniment. Le cœur du réacteur nucléaire comprend des barres fissiles creuses qui chauffent la vapeur de sodium qui les traverse. Ces barres ne sont pas de simples tubes mais des enroulements complexes de feuilles métalliques recouvertes de billes d'uranium. Ces enroulements augmentent la surface de contact entre la vapeur de sodium et l'uranium ce qui optimise les transferts thermiques. En introduisant ou en retirant un certain nombre de barres de ralentissement, il est possible de contrôler avec précision la température du réacteur. Le Lawrence Livermore Laboratory, qui a conçu ces réacteurs, a dû résoudre d'énormes problèmes avant que ceux-ci ne fonctionnent.

La propulsion verticale de l'Astra est assurée par quatre propulseurs MFD (voir encadré 2) à interrupteur de champ magnétique, consommant environ 600 mégawatts chacun. Chaque propulseur MFD est fait de bobinages supraconducteurs à haute température en ytrium-baryum-oxyde de cuivre (YBCO). En fonctionnement, ces propulseurs antigravitationnels génèrent des phénomènes complexes d'ionisation de l'air et d'ondes stationnaires. Ces phénomènes expliquent les lumières étranges, de couleurs pouvant varier du rouge au blanc, ainsi que les effets occasionnels de "lumières tronquées" provoqués par le "piégeage" d'air ionisé dans des faisceaux d'ondes stationnaires. Le champ antigravitationnel généré par l'interrupteur de champ magnétique ne s'étend que sur quelques mètres autour du système. Les zones du fuselage de l'Astra les plus éloignées des propulseurs antigravitationnels conservent donc 11 % de leur masse et de leur inertie. L'équipage, placé à la verticale du propulseur central, est, quant à lui, toujours en apesanteur et voit donc sa masse et son inertie totalement annulées.

Les trois propulseurs EMHD de l'Astra, formant les côtés du fuselage triangulaire, se composent de deux éléments bien distincts. Le premier est une cavité résonnante de forme approximativement cylindrique. Le deuxième est un laser de puissance ultraviolet. Dans cette cavité, l'air est ionisé positivement (charge électrique positive) par un faisceau de micro-ondes stationnaires et à polarisation circulaire. Ces ondes sont émises à une extrémité du "cylindre" de la cavité et se réfléchissent sur un miroir à l'autre extrémité. Une succession de réflecteurs, formant la paroi externe de la cavité et entrecoupés de "fenêtres", amplifie les régimes d'oscillation de ce système d'ondes stationnaires. Cette cavité crée donc une ligne de charge électrique positive à très haute énergie. À mi-longueur de la cavité, un laser de puissance (peut-être à l'azote ou à électrons libres) émet un faisceau de lumière ultraviolette perpendiculaire à la cavité. Ce faisceau laser est focalisé par une optique adaptative de 80 cm de diamètre à une distance quelconque de la cavité résonnante. Le rayonnement ultraviolet du laser crée littéralement un tunnel conique et conducteur d'électricité dans l'air. Il forme ainsi un guide d'ondes et une électrode virtuelle de charge électrique négative. En envoyant un courant électrique à très haute tension est à haute fréquence dans ce tunnel, il est possible de concentrer une énorme charge électrique au point focal du faisceau laser. Il se forme alors à ce point focal une boule de plasma de charge électrique négative. L'énorme différence de potentiel existant entre la "ligne" de charge électrique positive de la cavité résonnante et le "point", de charge électrique négative, de la boule de plasma crée une accélération électrocinétique de l'air entre le fuselage et la boule plasma. L'air, ionisé et accéléré, s'écoule suivant un cône aplati et convergent sur la boule plasma. En déplaçant le faisceau laser, donc la boule de plasma formée à son point de focalisation, on oriente la direction de la propulsion électrocinétique. Lorsque la cavité résonnante n'est pas activée, par exemple en vol stationnaire, le laser ultraviolet peut être utilisé seul et focaliser son faisceau sur une cible. Le laser étant focalisé sur sa cible, il suffit d'envoyer toute l'énergie électrique disponible dans le tunnel conducteur créé dans l'air pour matérialiser un plasma à très haute énergie sur la surface de la cible. C'est là le secret de l'arme plasma de l'Astra. Cette arme à faisceaux plasma est efficace jusqu'à 12 km de distance, au-delà, l'atmosphère risque de disperser le faisceau. L'Astra dispose de trois de ces canons plasma, un par côté de son fuselage triangulaire. Quoi que la lumière du laser ultraviolet ne soit pas visible, dans certaines conditions l'air ionisé entourant le faisceau laser émet de la lumière rouge et infrarouge. C'est pourquoi certains témoins ont vu ce faisceau laser émettant une lumière transversale rouge.

Les performances du TR3B "Astra" :

Les trois côtés du fuselage triangulaire du TR3B Astra ont une longueur de 34 m, l'épaisseur maximum du fuselage étant de 6 mètres (train d'atterrissage rentré). Un poste de pilotage cylindrique de huit mètres de diamètre dépasse légèrement du sommet du fuselage. L'auteur estime le poids de l'Astra à environ 150 tonnes. La structure et le fuselage de l'Astra sont faits principalement de titane, quelques éléments pouvant être en composite de carbure de silicium. La vitesse maximale de l'Astra varie selon le mode de propulsion et selon qu'il vole dans l'atmosphère ou dans le vide spatial. En propulsion horizontale EMHD dans la basse atmosphère, l'Astra ne peut dépasser 9000 Km/h (Mach 7,5). Toutefois sa vitesse horizontale augmente avec l'altitude sans que l'on sache de combien, toutefois l'auteur se risque à avancer le chiffre hypothétique de 18.000 km/h. En propulsion verticale, c'est-à-dire en n'utilisant que ses propulseurs antigravitationnels, l'Astra peut atteindre des vitesses de 20.000 km/h dans la basse atmosphère et de 100.000 km/h dans le vide ! Pour accélérer horizontalement à de telles vitesses, l'Astra varie la poussée des moteurs MFD placées aux trois extrémités de son fuselage ce qui lui permet de s'incliner comme le ferait un hélicoptère. Il peut même, moyennant un petit complément de poussée EMHD, rester immobile à une inclinaison quelconque en vol stationnaire. Par contre l'Astra souffre d'une limite qui a semble-t-il échappé à tous les spécialistes, c'est qu'il ne peut s'éloigner à plus de quelques dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, ce qui lui interdit tout voyage interplanétaire. Cette limite vient du fait que ses moteurs antigravitationnels fonctionnent par répulsion d'une masse locale, en l'occurrence la Terre, ce qui fait que sa poussée antigravitationnelle diminue rapidement en s'éloignant de celle-ci.

L'Astra peut toutefois aisément se mettre en orbite ou voyager dans le proche espace autour de la Terre. L'Astra ne peut pas non plus mettre en orbite des satellites car la puissance de ses générateurs nucléaires suffit tout juste à son propre fonctionnement et ne permettrait pas l'emport d'un poids supplémentaire important. Pour ses missions militaires, le TR3B comprend un équipage minimum de quatre hommes. Cet équipage se compose d'un pilote, d'un ingénieur chargé des systèmes de combat et des contre-mesures, d'un ingénieur chargé des propulseurs et d'un ingénieur chargé des réacteurs nucléaires. L'auteur ignore combien de passagers peuvent prendre place dans le poste de pilotage, mais vu le diamètre de celui-ci on peut supposer qu'il peut accueillir pas mal de monde ! Il suffit de regarder la forme de l'Astra pour comprendre que le pilote n'a aucune visibilité extérieure. C'est pourquoi le pilote, ainsi que probablement les autres membres d'équipage, sont équipés d'un casque virtuel affichant une image à 360 degrés du paysage extérieur. Cette image panoramique est captée par un ensemble de caméras capables de voir l'ensemble le spectre lumineux depuis l'infrarouge jusqu'à l'ultraviolet. De plus, le fameux nez biseauté asymétrique contient un radar multi mode à balayage latéral, capable de restituer une image de qualité photographique de l'environnement. Ce radar sert aussi de système de reconnaissance stratégique. Voilà tout
ce que l'on peut dire avec précision du TR3B Astra qui est à la fois un véhicule de reconnaissance stratégique et un véhicule de combat.

 

Source(s) : Ovni 007.com , Mongenie

 

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Ufologie : Activité OVNI au-dessus de Santiago, Chili, 17 décembre 2010 et 2009