Stains : quand la violence entre dans la cour du lycée...

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J'ai eu mal au cœur, hier, quand j'ai vu ce reportage pour ce pauvre gamin qui s'est fait agressé au marteau. Je connais bien la problématique, car quand mon fils était au lycée dans la ville d'à côté, il y avait aussi régulièrement des agressions aux portes de l'établissement par des éléments extérieurs (et pourtant c'est une ville assez aisée), jusqu'à ce qu'ils mobilisent des forces de police, et là encore on en revient au même, forces de police = argent = dette... Nos politiques laissent donc sciemment nos enfants se faire massacrer... à coup de ... marteau... Par des petites frappes, qui sont jaloux de ces enfants qui ne sont pas exclus du système scolaire. Et ça, aussi c'est une forme de terrorisme... Alors, vous croyez vraiment qu'il faut plus d'immigration ??? Commençons par nous occuper de nos propres enfants, avant de vouloir nous occuper de ceux des autres....

Entrée sous surveillance pour les élèves du lycée Utrillo, à Stains (Seine-Saint-Denis). Neuf agents envoyés par le rectorat assurent leur sécurité suite aux incidents graves survenus depuis un mois sur le parvis de l'établissement. Une journée particulièrement violente a marqué les esprits, celle du 12 mars quand trois jeunes cagoulés se présentent à l'heure de la récré', et agressent un lycéen. "Ils le frappent, ils le mettent au sol, (...) et après quand il était déjà assommé ils le frappent avec un marteau", se souvient cette lycéenne.

Une situation "en train de s'aggraver sur tout le département"

À l'origine de cette violence, des règlements de comptes entre bandes rivales. Les parents d'élèves, très inquiets, redoutent le pire. "C'est très très grave ce qu'il se passe, et j'aimerais que les pouvoirs publics fassent le nécessaire", explique ce parent d'élève. Épuisés, les assistants d'éducation sont tous en arrêt maladie depuis vendredi. Pour cette prof' d'histoire-géographie, le lycée n'est plus un lieu où les élèves peuvent venir étudier en toute sécurité : "On dit toujours que le dernier sanctuaire, pour ces territoires abandonnés comme la Seine-Saint-Denis, c'est l'école, et que là on était le dernier bastion et on est en train de s'effondrer, c'est en train de s'aggraver sur tout le département".

 

Source : France Tv Info.fr

Informations complémentaires :

Violence Stains 10 04 2018


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