Coronavirus : Mise en garde de l'UE sur les campagnes de rappel vaccinal (Boursorama.com)

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C'est ce que j'ai vu en coup de vent cet après-midi sur Twitter, l'OMS déconseille la 3e dose ou 'booster' (en plus c'est des malades ils mélangent tout les vaccins). D'ailleurs il faut savoir que c'est une idée de génie d'une commerciale de Pfizer ou Moderna, je ne sais plus (mais a priori pas d'un 'scientifique').

Moi ce que j'attends c'est la communication de notre gouvernement, haha... Déjà Jean Castex dit aux femmes enceintes de se faire vacciner, alors que Pfizer et Moderna disent que c'est fortement déconseillé...

Et vous avez vu, c'est marrant, Didier Raoult ils le foutent à la porte 'pour cause de départ à la retraite', mais Delfraissy qui a 73 ans, lui continue de diriger le 'haut conseil scientifique'....

Tout ceci est une fraude monumentale...

Enfin, ce qui est bien c'est qu'arrivé à la 3e dose certains commencent (quand même) à se poser des questions sur l'efficacité de ces technologies 'innovantes'..., et ils sentent qu'il y a un 'loup'... Encore un peu de patience, on devrait être fixé à l'automne.

Du reste, Israël a signé un contrat avec Pfizer de non divulgation des effets secondaires pendant 10 ans....

Confiance..., Confiance... comme dirait Spartou...

Amitiés,

f.

Campagne De Rappel
CORONAVIRUS: MISE EN GARDE DE L'UE SUR LES CAMPAGNES DE RAPPEL VACCINAL

Par Francesco Guarascio

BRUXELLES (Reuters) - Les pays membres de l'Union européenne (UE) ayant décidé de lancer des campagnes de rappel vaccinal contre le COVID-19 pourraient s'exposer à des risques juridiques accrus, dans la mesure où l'administration d'un rappel n'a pas encore été recommandée par l'Agence européenne des médicaments (AEM), a rappelé jeudi la Commission européenne.

L'AEM, régulateur européen du médicament, a fait savoir à de nombreuses reprises qu'elle ne disposait pas de données suffisantes pour pouvoir se prononcer sur l'éventuelle nécessité d'un rappel vaccinal contre le COVID-19 et son calendrier d'administration.

"Les doses de rappel ne figurent pas à l'heure actuelle dans les autorisations de mise sur le marché des vaccins contre le COVID-19 et n'ont pas encore fait l'objet d'une évaluation scientifique par l'AEM faute de données suffisantes", note la Commission européenne dans un communiqué adressé à Reuters jeudi.

"La responsabilité d'inclure les rappels dans les campagnes vaccinales nationales relève donc des Etats membres", a précisé la Commission dans son message.

Cela pourrait signifier qu'en cas d'effets indésirables inattendus qui pourraient être attribués spécifiquement aux rappels, les Etats concernés pourraient être les premiers à faire les frais d'éventuelles poursuites ou de demandes d'indemnisation. Les laboratoires ne seraient cependant pas entièrement dispensés de responsabilités, par exemple en cas d'effet indésirable post-rappel lié à un problème de production.

Même si l'indication de la dose de rappel ne figure pas pour l'instant dans les autorisations de mise sur le marché accordées en Europe, huit pays européens - dont la France - ont déjà décidé de recommander un rappel vaccinal anti-COVID-19, et près d'une quinzaine d'autres seraient sur le point d'en faire autant.

Le Premier ministre français, Jean Castex, a annoncé jeudi matin sur RTL que la campagne de rappel vaccinal contre le COVID-19 serait lancée en septembre.

L'OMS DÉCONSEILLE POUR L'INSTANT LES CAMPAGNES DE RAPPEL

La Haute autorité de santé (HAS), qui a préconisé mardi de cibler les 65 ans et plus pour cette campagne de rappel vaccinal, a précisé que son avis était "conditionné à la validation de ce rappel par l'agence européenne du médicament".

Selon le centre européen de contrôle et de prévention des maladies (ECDC), outre la France, l'Autriche, la Belgique, la Hongrie, le Liechtenstein, la Lituanie, le Luxembourg et la Slovénie recommandent déjà ces rappels. L'Allemagne prévoit d'en faire autant à l'automne, et 13 autres pays, dont l'Italie y réfléchissent.

En dehors de l'UE, les Etats-Unis prévoient de généraliser leur campagne vaccinale de rappel à partir du 20 septembre et Israël - qui a conclu un accord avec Pfizer pour fournir des données - a étendu progressivement la sienne depuis la fin juillet.

Les pays ayant mis en place des campagnes de rappel les justifient en évoquant la diminution au cours du temps de la réponse immunitaire chez les personnes vaccinées, ainsi que la nécessité d'endiguer les récentes flambées épidémiques associées au variant Delta du coronavirus SARS-CoV-2, initialement découvert en Inde et très contagieux.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déconseillé à plusieurs reprises ces derniers mois de telles campagnes de rappel, jugeant prioritaire l'amélioration de la couverture vaccinale dans les pays en développement.

Les règles européennes en matière de responsabilité et d'indemnisation s'appliquent en cas d'effets indésirables inattendus liés aux caractéristiques générales du produit ou à sa fabrication. Chaque fournisseur de vaccins anti-COVID-19 a négocié avec les autorités européennes des clauses spécifiques en la matière qui restent largement confidentielles.

Les éventuelles compensations pour des effets indésirables liés aux vaccins contre le COVID-19 sont gérées à l'échelle nationale. En France, elles relèvent de l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (Oniam).

(Reportage Francesco Guarascio, avec la contribution de Stine Jacobsen à Copenhague, Gwladys Fouche à Oslo, Michael Shields à Zurich, Caroline Copley à Berlin ; version française Myriam Rivet, édité par Marc Angrand)

 

Source : Boursorama.com

 

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