Bonjour, l'article avait été retiré en commission sur proposition du sénateur Alain Houper, mais de retour à l'assemblée un membre de la macronie l'as ré intégré dans la loi sur les dérives sectaires malgré l'avis défavorable du Conseil d'État.
Ce qui veut dire que si la loi est adoptée tel quelle, critiquer un médicament, comme un ....vaccin qui à l'instant T est reconnue comme efficace par l'état actuel de la science, vous exposeras a 1 an de prison et 15.000 € d'amende, même si à T+1 il s’avère qu'il est mortel et que vous aviez raison sur vos doutes, bref, c'est la dictature totale, ça passe au vote mardi.
La science est une chose en perpétuelle évolution, aussi il faut pouvoir discuter et avancer des faits et des théories.
Et c'est très grave car avec une loi comme cela par exemple l'affaire du médiator n'aurrait pas pus avoir lieu... ça tue les lanceurs d'alerte dans l'oeuf.
Aussi après avoir tué l'anticorruption en ne renouvellement pas l'agrément d'Anticor, ils forcent les lanceurs d'alerte au mutisme.
SVP, écrivez à vos députés.
Amitiés,
f.
En cohérence avec l’avis du Conseil D’État le jugeant « disproportionné », j’avais déposé un amendement adopté en commission supprimant l’article 4 de la Loi sur les dérives sectaires. Sans aucun aménagement, l’assemblée vient de rétablir la censure. https://t.co/WHf09wSvAP
— Alain Houpert (@alainhoupert) February 8, 2024
L'article 4 a été remis dans le projet de loi "contre les dérives sectaires" par la rapporteure macroniste, après un avis défavorable du Conseil d'État et sa suppression au sénat.
— Beatrice Rosen (@Beatrice_Rosen) February 7, 2024
C'est extrêmement dangereux, nos libertés sont une fois de plus attaquées par instrumentalisation… pic.twitter.com/eCLje7CVqT
C’est le retour de l’Union Soviétique ! https://t.co/DOCRxnWLui
— Yves Pozzo di Borgo (@YvesPDB) February 8, 2024
Source : Twitter