Jean-François Copé propose un débat sur le bilan de Sarkozy

Bonjour, on s’est bien éclaté hier, petit resto portugais. Franchement leurs fruits de mer sont impeccables, mais sur 4 plats de viandes, il y en avait 2 vraiment trop nerveuses ou trop cuites. Cependant, si vous voulez du poisson, ou comme je le disais un bon plateau de fruits de mer, ils sont généreux sur les quantités…

Ce matin c’est le droit d’inventaire de Jean-François Copé qui m’a fait hier comme un coup de poing à l’estomac. Je dois dire qu’ils ne manquent pas d’air et qu’avec les « affaires » qui planent c’est quand même assez osé…

 

Du reste, venant de ce dernier, il est probable que la maœuvre ne soit pas totalement désintéressée... ; )

 

Mais ce n'est pas une raison pour avoir la mémoire qui flanche...

 

Bon week-end,

 

Amicalement,

 

F.

 

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Jean-François Copé himself

PARIS (Reuters) - Le président de l'UMP, Jean-François Copé, propose un débat "sérieux et objectif" au sein de l'UMP sur le quinquennat de Nicolas Sarkozy.

Dans une interview à paraître samedi dans les journaux du groupe Nice-Matin, il souhaite que ce débat soit conclu "avant la mi-octobre" afin de ne pas empiéter sur la campagne des municipales.

Jean-François Copé, qui ne prononce pas lui-même le mot inventaire, demande que ce débat ne se "transforme" pas "en procès" contre Nicolas Sarkozy et François Fillon "qui ont ensemble gouverné la France pendant cinq ans".

"Même si ce débat tire les enseignements du passé, il faut qu'il serve exclusivement l'avenir. C'est un point de départ incontournable pour retrouver la confiance des Français d'ici 2017", ajoute-t-il.

Plusieurs personnalités de l'UMP s'étaient démarquées ces dernières semaines en réclamant un droit d'inventaire du quinquennat de Nicolas Sarkozy, alors que la gauche reproche à l'opposition de ne pas s'être remise en question.

Le droit d'inventaire des années Sarkozy a été réclamé en premier par l'ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, puis par François Fillon, qui avait invité le 11 juillet ses partisans à "méditer sur le passé".

Jean-François Copé considère qu'aujourd'hui "les conditions sont réunies" pour un tel débat, mais en fixe le cadre et les limites.

"Nous devons pointer du doigt ce que nous n'avons pas osé faire et en tirer les conséquences. Mais nous dirons aussi aux Français : voilà ce que nous avions fait, les socialistes l'ont défait, regardez le résultat", précise-t-il.

Gérard Bon

 

Source : Reuters.fr

Informations complémentaires :

 

 

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