La bactérie qui frappe l’Europe en cours d’analyse

Grâce à Chalouette, les dernières infos sur notre microbe vedette ! Vous pouvez dormir tranquille, il y a DIX jours d'incubation... Et arrêtez de tremblez devant les concombres de contrebande !!! ; )))  Enfin pour ce qui est de ce bacille, ce serait une chimère de type Hybride assemblée avec deux souches, dont une base Escherichia coli, « 0104:H4 (Stx2-positive, eae-négative, hly-négative, ESBL, aat, aggR, aap) » TRÈS résistante aux antibiotiques... Avec UN seul cas répertorié au MONDE ! Chez  « une femme en Corée en 2005 ». Donc à MON avis a priori peu de chance que ça soit le fruit de la nature ! ; ) Ah la blague qui TUE !!! (je me demande bien ce qu'est la DEUXIÈME charge de l'Hybride ????). On vous avait alerté dès le 12 août 2010... Pour l'instant avec 6 morts en France, pas la peine de paniquer, mais comme toute contamination, elle risque d'être exponentielle. Je vous propose donc cet article et quelques riches MP3s issus de France Info ; ) Enfin en attendant M. Lefebvre et sa politique de filtrage... ; ))) compte à rebours en cours... Alors profitez-en... Et soyez informés ! Plus de « séquençage » (en traditionnelles informations complémentaires ; ))... Continuez à consommer, mais soyez logique jusqu'au bout... Une bonne occasion de ressortir vos diverses formes de désinfectants H1N1..., Je vous rappelle les conseils pratiques...

Les scientifiques européens ont de quoi s’arracher les cheveux : non seulement la bactérie qui a tué 17 personnes en Allemagne et infecté plus de 1.500 autres en Europe, ne provient finalement pas des concombres espagnols (mais d’une autre source encore inconnue), mais sa souche serait rarissime. Elle pourrait être le fruit d’une mutation, qui la rendrait "plus virulente" encore.

Quelle que soit l’origine exacte de cette bactérie Escherichia coli entérohémorragique bien spéciale, les cas de contamination continuent de se multiplier. Sept nouveaux malades ont été recensés, cette fois en Grande-Bretagne, mais comme à l’accoutumée, ils n’ont pas été infectés sur place, mais en Allemagne. Trois y ont récemment séjourné, et les quatre autres sont des ressortissants allemands. Précision de l’Agence britannique de protection de la santé, pour ne pas envenimer encore une situation qui frise la panique dans l’Europe entière.

Premières contaminations en Grande-Bretagne à Londres, les précisions de Franck Mathevon  (0'44")

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Les premiers résultats d’analyses livrés par l’Organisation mondiale de la santé ce matin ne risquaient pas de rasséréner les consommateurs, puisqu’en substance, on ne connaît toujours pas le légume, ou l’aliment porteur de cette bactérie qui a tué 17 personnes en Allemagne. L’OMS précisait surtout que la souche de la bactérie incriminée est inconnue au bataillon. Les analyses génétiques suggéraient qu’il s’agissait d’une forme mutante, porteuse de gènes mortels.

Inconnue, vraiment ? L’Agence Européenne de sécurité alimentaire affirme elle avoir identifié la souche de la bactérie, une souche rare répondant au code "0104:H4 (Stx2-positive, eae-négative, hly-négative, ESBL, aat, aggR, aap)", selon un communiqué de l’ECDC, basé à Stockholm. Un seul cas concernant "une femme en Corée en 2005" aurait été rapporté dans une publication scientifique.

Après les concombres, les crudités, fruits et viandes en cours d’analyses

Ces analyses ont permis cependant de lever le soupçon qui pesait sur le concombre espagnol, ouvrant par ricochet une bagarre diplomatique. Madrid ce matin réclame à l’Union européenne des "dédommagements des préjudices provoqués". Les Pays-Bas et l’Allemagne réclament de leur côté des aides pour leur agriculture impactée directement par la crise. Et la Russie pour ne rien arranger a décrété ce matin un embargo sur les légumes en provenance de toute l’Europe. Une décision "disproportionnée", selon la commission européenne qui compte demander des explications à Moscou.

"Le mal est déjà fait", juge Alain Barniol, président du syndicat national des importateurs et exportateurs de fruits et légumes  (0'58")

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En attendant, ce sont les chercheurs allemands qui planchent. Ils étudient des centaines d’échantillons. De crudités, de fruits mais aussi de viande. Chaque malade se voit contraint de se rappeler le contenu de son assiette d’il y a dix jours, puisque c’est le temps approximatif d’incubation. L’Institut fédéral allemand pour l’évaluation des risques annonce avoir mis au point un nouveau test, en coopération avec l’Anses, Agence française de la sécurité alimentaire.

Pour les consommateurs habitués aux aliments sûrs, il y a rupture de contrat, analyse l’historien Anthony Rowley interrogé par Jean Leymarie  (1'56")

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Source : France Info

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Agenda 21
 

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