Covid-19 : « Des biais amplifient artificiellement le nombre de cas positifs et faussent la perception de la gravité de l’épidémie » (Le Monde.fr)

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On parle depuis le départ, à savoir septembre 2020, de 90% de faux positifs quand même.... Alors au vu des conséquences de ces tests faussés, reconfinement, couvre-feu, arrêt de l'économie, mort des petits commerçants..., mort des indépendants et morts des artisants... etc., je pense que cela ne va pas en rester là... Enfin moi je me suis engagé dans ce sens.... et je vous encourage à faire de même, ça coûte 15€ (informations complémentaires).

Et pour ce qui est du secteur de la santé, cela fait 50 ans qu'ils le laminent dans l'indifférence générale, la preuve malgré tout ce que vous raconte le gouvernement, ça continue... sur les ordres de Bruxelles....

C'est ça l'Europe de Maastricht....

Et ce n'est pas fini, le meilleur pour la fin..., toujours sur les mêmes affirmations scientifiques totalement faussées l'Europe va maintenant s'occuper de nous encore un peu plus....

Le dépistage des cas de Covid-19 sans évaluation de la charge infectieuse est un non-sens épidémiologique, alertent le vétérinaire Patrick Guérin et le médecin Didier Sicard, dans une tribune au « Monde ».

Publié le 07 novembre 2020 à 02h59 - Mis à jour le 08 novembre 2020 à 16h01 Temps de Lecture 4 min.

Tribune. Les meilleures décisions lors d’une crise sanitaire sont fondées sur des données scientifiques solides pour être ensuite arbitrées politiquement. Or, si les décisions concernant la gestion de la crise du Covid-19 depuis mi-mars reposaient sur le nombre de personnes admises en réanimation et le nombre de décès liés à ce virus, les autorités sanitaires ont changé d’indicateur pour s’appuyer essentiellement sur le taux d’incidence.

Cet indicateur, diffusé et commenté chaque soir par les médias, recense le nombre de personnes testées « positives » au Covid-19 rapporté à une population donnée (100.000 personnes testées).

Simplisme excessif

Pour déterminer ce taux, les autorités sanitaires s’appuient sur le test dit RT-PCR. De nombreux scientifiques, dont l’Ecole de santé publique de l’université Harvard, repris dans un article du New York Times du 29 août 2020, ont mis en évidence ses limites, en raison du simplisme excessif de sa réponse – la personne est dite « positive » indépendamment de la charge virale (quantité de virus présent) et, par conséquent, de sa contagiosité.

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Lire aussi : Le docteur Jean-Claude Azoulay : « Je ne suis pas certain qu’aujourd’hui, il y ait besoin de 1 million de tests Covid-19 par semaine »

Or le coefficient d’amplification dit « CT », c’est-à-dire le chiffre à partir duquel apparaît la fluorescence, est essentiel. Plus le chiffre est bas, plus la charge virale est élevée, donc la contagiosité, et inversement.

En effet, si la zoonose Covid-19 est due au virus SARS-CoV-2, l’inverse n’est pas vrai : la présence de fragments de SARS-CoV-2 dans les fosses nasales n’entraîne pas automatiquement la maladie, ni la contamination. Or, ce CT n’est pas harmonisé, variant de 20 à plus de 40, selon les laboratoires de biologie médicale et selon les pays, alors qu’il s’agit d’une politique de santé publique.

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Source(s) : Lemonde.fr via lectrice que l'on remercie ; )

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Plandemic II ,VF
 
PCR Le Monde
Lors d’un test de dépistage PCR, à Saint-Denis, le 3 novembre.
CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP
 

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