Sa création, en octobre 2014, avait été annoncée à grands coups de clairon médiatique, asseyant la volonté ferme du gouvernement de prendre le terrorisme par les cornes. Cet été, seulement quelques mois après les attentats de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher, la «cellule de déradicalisation» djihadiste, un des volets du plan anti-Daech, a fait pschitt.
Placée sous le contrôle de la préfecture de police de Paris, en charge d'appliquer pour la région parisienne le plan antidjihad concocté par le ministre de l'Intérieur, cette structure de désendoctrinement était la première du genre en France. Elle a même eu valeur d'exemple pour d'autres pays. Comme la Belgique, où s'est montée une structure identique après la rencontre, le 24 février dernier ...
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