Le dernier budget excédentaire remonte à… 1974

Ça vous étonne ? Est-ce que les dates ne vous choquent pas ? Il y aurait il ici un message subliminal de la presse pour une fois ?

Depuis des années on vous explique l’arnaque de la dette. Et QUI se cache derrière (vidéo informations complémentaires), je ne cesse aussi de vous montrer ce graphique évocateur de l’évolution de celle-ci avec les gouvernements successifs, et la date où nous avons basculé sous la coupe des banquiers privés. Du reste, depuis 48 heures, nous faisons face à un afflux massif de visiteurs québécois(es), je ne sais pas d’où ils sortent, je ne sais pas où ils vont ; )

Mais une chose est sûre, c’est que l'on ne va pas s’en plaindre ! Aussi, comme j’apprécie beaucoup nos cousins et cousines, et que j’ai quelques contacts là-bas, je ne peux que faire le parallèle historique avec LEUR situation…

Ils sont exactement dans le même piège que NOUS. Du reste, pas très malin les mondialistes et les banksters d’avoir mis le même piège (presque) PARTOUT, ça sera d’autant plus facile à faire sauter… (quoique).

Comme pour Fukushima cela dépend d’une prise de conscience généralisée, de la connaissance des points clefs de l'histoire et des mises en garde de la religion.

Et surtout d'avoir la volonté de se battre contre ces criminels en col blanc, et cette dette qui, de facto, n'existe pas vraiment...

Afin de reprendre en main, les rênes de notre destin... (tous et toutes).

Fraternellement

F.

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LeFigaro.fr/ Lagoutte, Christine - Le dernier budget excédentaire remonte à... 1974

Depuis quarante ans, la France aligne des exercices budgétaires déficitaires. Le dernier dans le vert remonte à 1974, année du premier choc pétrolier. Le solde positif était alors de 8,5 milliards de francs, soit 6,4 milliards d'euros d'aujourd'hui !

Quarante ans de déficit budgétaire ! C'est le record que s'apprête à enregistrer la France alors que le gouvernement Ayrault présente ce mercredi son projet de loi de finances pour 2014. Il faut en effet remonter à l'année 1974, pour retrouver la trace d'un solde budgétaire positif : 8,5 milliards de francs de l'époque, soit un peu plus de 6,4 milliards d'euros d'aujourd'hui. Une éternité !

1974, c'était l'année du film Les Valseuses de Bertrand Blier et de l'inauguration de l'aéroport Roissy Charles de Gaulle. Les Français roulaient en R5 et fredonnaient Il venait d'avoir 18 ans de Dalida, ou Sugar baby love des Anglais à la casquette blanche, les Rubbettes. Cette année là également, le monde entier découvrait un jeune suédois surdoué du tennis, Björn Borg, qui remportait son premier Roland Garros…

Côté économie, en 1974, on commence à parler ralentissement de l'activité : le choc pétrolier est là, les prix du pétrole s'envolent, le taux de croissance retenu par le gouvernement Messmer est en baisse (il ferait rêver aujourd'hui) : 5,7 % contre 6,3 % en 1973 ! Le gouvernement s'inquiète aussi de l'envolée des salaires et de l'inflation. Après les 30 glorieuses, les 40 piteuses…

Le budget 1974 présenté en juillet 1973 par le président Georges Pompidou, son Premier ministre Pierre Messmer et son ministre des Finances, Valéry Giscard d'Estaing, prévoit une forte hausse des dépenses : + 12,5 % à 225 milliards de francs pour financer des dépenses d'infrastructures industrielles (autoroutes ; téléphone), de développement économique (armée, aéronautique, plan calcul, espace…) et de justice sociale. La création de nouveaux postes dans la fonction publique (plus de 30.000) est aussi à l'ordre du jour.

Côté recettes, plusieurs mesures touchent les contribuables au portefeuille, à commencer par une modification du barême de l'impôt (via un relèvement de chaque tranche de 6,5 %), qui instaure une surtaxe pour près d'un million et demi de foyers, ou encore un allongement de cinq à dix ans pour exonérer les plus-values tirées de la vente d'un bien immobilier.

Ce projet de loi de finances fera l'objet de deux lois de finances rectificatives, en juin puis en décembre 1974, sous la houlette de Jean-Pierre Fourcade, le nouveau ministre des Finances du président Giscard d'Estaing. Les incertitudes sont alors de plus en plus grandes pour l'économie française. «la France est inquiète et presque malheureuse, avec 500.000 demandeurs d'emploi et un taux d'expansion de l'ordre de 4,5 %», écrivait Le Figaro en novembre 1974, expliquant que le gouvernement veut à tout prix éviter de franchir le seuil des 700.000 chômeurs, faute de quoi il lancera une politique de relance. 40 ans plus tard, le nombre de demandeurs d'emploi frôle les 3,3 millions !

 

Source : Lefigaro.fr

Informations complémentaires :


Dette des Etats : confessions d'un assassin... par corsair31


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