Pourra-t-on encore voter en France en 2021 et 2022 sans passeport vaccinal ??

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Bonjour, c'est un billet invité des Moutons enragés, mais j'ai trouvé la démonstration bien faite, de plus quand on sait un peu ce qui s'est passé aux États-Unis, ou que l'on connaît les failles béantes de ces machines à vote (qui semblent être utilisées aussi en France).

Je pense qu'à partir de là, le doute est légitime..., les peurs aussi..., par rapport à ce passeport covid (confirmé par L'Europe en 2022), et le fait qu'il puisse d'ores et déjà (dans ses premières moutures) être lié à notre droit de vote pour 2021 et 2022.

On y trouve aussi des questions par rapport au fonctionnement intrinsèque de notre pays (pourquoi consolider les données de votes aux États-Unis ?)

Quels 'garde-fous' pour la France ? Maintenant que nous sommes en état d'urgence quasi permanent, et qu'ils veulent le rendre éternel....

Donc ça donne des perspectives et ça s'inscrit parfaitement dans notre argumentaire.

Autant de bonne raison de vous le passer ce matin, et de vous inviter à réagir à la dictature qui se met en place, ... pas toujours discrètement.....

Bonne lecture ; )

f.

Vote Electronique France
En 2007, pour l'élection présidentielle, des machines à voter électroniques avaient été
utilisées dans 83 villes, comme ici à Issy-les-Moulineaux. Un moratoire avait ensuite été
instauré, interdisant l’adoption de ce système par de nouvelles communes.

Il n’est pas du tout certain que les élections prévues en 2021 et 2022 se tiennent. Si elles ont lieu, ce sera certainement dans des circonstances chaotiques. Quoi qu’il en soit, les personnes qui résistent à la dictature, ne pourront probablement pas participer.

Comme nous l’avons écrit dans un autre article, depuis longtemps nous pensons qu’il n’y aura peut-être pas d’élection présidentielle en France en 2022. En tout cas, si cette élection, ainsi que les départementales et régionales de 2021 sont maintenues, elles se dérouleront, à coup sûr, dans des conditions calamiteuses. Les événements récents ne font que confirmer cette intuition.

Les précédents de 2019 …

En réalité, en France, ces derniers temps, il y a déjà eu des scrutins éminemment problématiques. Si cela s’était passé dans d’autres pays, la France, le Royaume-Uni, l’Union européenne, les Etats-Unis, le Canada auraient parlé de scrutins faussés, non valides, irréguliers, non conformes à la démocratie, et tutti quanti.

Les européennes de 2019 interviennent quelques mois après le début des manifestations de Gilets Jaunes, sauvagement réprimées. A titre d’exemple, en janvier 2019, à Paris, près du musée d’Orsay, Christophe Dettinger doit s’interposer pour protéger une femme brutalisée par les forces de l’ordre totalitaire (il est d’ailleurs finalement envoyé en prison !). Ces européennes ne se sont donc pas déroulées dans un climat serein.

… et 2020

Le premier tour des municipales de 2020 se déroule le 15 mars. Le 16 mars, Macron annonce le premier confinement, lequel constitue l’un des éléments du putsch Covid-19.

A - Le deuxième tour est finalement reporté à la fin juin : or, fin juin, la France est déjà bien installée dans la dictature. C’est sous un régime de coup d’Etat qu’est intervenu ce deuxième tour, avec notamment une Constitution outrageusement violée et l’instauration d’un état d’urgence prétendument sanitaire. Ajoutons que, dans les faits, depuis des mois, le pays vit sous état d’urgence et état de siège. Une situation bien peu compatible avec des élections libres et non faussées …

B - Ces municipales se sont illustrées par une abstention massive : 55% au premier tour et 58% au second. Contrairement à ce que prétendent certains, cette forte abstention n’est pas la preuve que la grande masse des citoyens auraient enfin compris ce qui se passe et auraient voulu manifester une résistance consciente en ne votant pas. En réalité, la peur du coronavirus a dû jouer un rôle, certes pas exclusif, mais non négligeable : beaucoup de gens ont dû croire ce qu’on leur répétait et penser qu’ils risquaient d’attraper un virus mortel s’ils se rendaient dans les bureaux de vote. Cette abstention massive prouverait donc, non pas une conscientisation des masses, mais, au contraire, le fait qu’elles ont gobé la propagande sur la prétendue pandémie.

C - Certains partis politiques ont joué un jeu trouble, pour le moins. Ils ont demandé un report des municipales, en tout cas du deuxième tour, sous prétexte de coronavirus. Ils se sont donné l’air de critiquer le gouvernement en criant qu’il n’avait pas pris les mesures de sécurité sanitaire nécessaires. Ce faisant, loin de gêner le pouvoir, comme ils cherchent à le faire croire, ils l’ont en réalité secondé : ils l’ont aidé à persuader les gens qu’il y avait effectivement un virus extrêmement dangereux faisant planer un danger de mort atroce. Ils ont donc contribué à favoriser l’abstention. Cela ne les a d’ailleurs pas servis, puisque certains de ces partis n’ont même pas été capables de présenter des candidats, ou, quand ils l’étaient, ont obtenu des scores médiocres.

Quoi qu’il en soit, de fait, les municipales de 2020 se sont déroulées de façon chaotique; elles n’ont pas été carrément annulées, mais elles n’en étaient pas loin puisque certains partis politiques ont demandé un report (c’est-à-dire, en réalité, une annulation sine die), et que le report a finalement été décidé; et elles n’ont occasionné la participation que d’une minorité de citoyens. De fait, donc, pour la majorité des gens, il n’y a pas eu d’élections … Les municipales de 2020 ont bien été un test, un laboratoire, et une étape pour la suppression pure et simple des élections et de la démocratie électorale.

D - Des partis politiques authentiquement opposés à l’oligarchie, auraient dit en particulier ceci : que ces élections étaient de toute manière faussées et illégitimes puisqu’elles se déroulaient sous un régime de coup d’Etat, et, en fait sinon en droit, sous état d’urgence et état de siège. En un mot comme en cent, des partis politiques vraiment opposés au système auraient déclaré hautement qu’un scrutin organisé par une dictature, ne peut pas être honnête ou légitime.

La présidentielle de 2017 a-t-elle été truquée ?

Non seulement les scrutins de 2019 et 2020 ont été perturbés, mais des soupçons de fraude pèsent sur la présidentielle de 2017. Selon monsieur François de Siebenthal, en particulier, le taux de participation et le score officiels de Macron seraient notoirement plus élevés dans certaines circonscriptions ayant utilisé des machines à voter électroniques, d’où des doutes légitimes. D’autant que, selon certaines sources, Macron ne serait apparu en tête des candidats qu’après consolidation des résultats à Austin, au Texas ! Monsieur de Siebenthal affirme qu’il a été demandé au gouvernement français de communiquer la liste des bureaux de vote dans lesquels se trouvent les machines électroniques; le ministère de l’Intérieur français aurait répondu que c’était un secret d’Etat …

Il est stupéfiant qu’aucun candidat à la présidentielle de 2017 n’ait réagi à ces propos. Ils auraient donc été floués, mais cela ne les gêne pas et ne les incite même pas à exiger davantage d’explications ? Cela montre à quel point cette prétendue démocratie n’est qu’un théâtre. Les représentants des divers partis font semblant de se déchirer, mais, quand une personne évoque de possibles tricheries, tous font comme si de rien n’était, comme s’ils n’avaient rien vu et rien entendu. Ce qui ne les empêchera pas, bien évidemment, de recommencer leur cinéma aux prochaines élections, si elles se tiennent.

Les institutions judiciaires impliquées dans le coup d’Etat

Le coup d’Etat permanent ne peut réussir qu’avec la participation active de certaines instances officielles, notamment judiciaires.

A - Le cas du Conseil constitutionnel est éclairant (peu importe le débat quant à la nature juridictionnelle ou non de ce Conseil) .

Voilà une instance qui, bien évidemment, n’a rien trouvé à redire à la présidentielle de 2017, alors même que, par exemple, les comptes de campagne de Macron posent problème.

Mais, cette instance n’avait déjà rien trouvé à redire aux comptes de campagne de Chirac et de Balladur en 1995. Or, et cela n’est plus contesté, le Conseil constitutionnel savait que ces comptes de campagne étaient irréguliers, et il aurait dû les rejeter, ce dont il s’est soigneusement abstenu.

Le Conseil constitutionnel a également validé l’élection de Valls aux législatives de 2017, de même que le Parquet a classé sans suite la plainte du mouvement France Insoumise dans cette affaire, alors que la fraude de Valls est flagrante.

Le Conseil constitutionnel a validé aussi l’état d’urgence sanitaire, qui constitue l’une des clés de voûte du putsch Covid-19, sans laquelle le pouvoir aurait eu beaucoup plus de mal à réussir son coup d’Etat. Avec des décisions aussi scandaleuses, le Conseil constitutionnel n’est pas seulement complice de ce coup d’Etat, il en est l’un des auteurs.

On pourrait citer aussi d’autres décisions : par exemple, celle par laquelle le Conseil constitutionnel a validé le seuil de 5% aux élections européennes. L’Union Populaire Républicaine (UPR), qui avait exercé le recours contre ce seuil, a signalé que le Conseil constitutionnel n’a même pas pris la peine de répondre aux nombreux arguments invoqués à l’appui du recours.

Quand on voit qui est membre du Conseil constitutionnel, et qui le préside, doit-on s’étonner que cette instance ne daigne même plus faire vraiment semblant d’être honnête ?

Président du Conseil constitutionnel : un Fabius. Parmi les membres, un Juppé, un Sarkozy, récemment encore un Valéry Giscard d’Estaing (celui-ci affirmant ne jamais siéger), pour ne citer que ceux-là, et sans rappeler les sales scandales auxquels ils ont été mêlés, scandales qui leur ont parfois valu des démêlés avec la Justice (mais pas autant qu’il l’aurait fallu) …

Il ne faut donc absolument pas compter sur le Conseil constitutionnel pour garantir des scrutins honnêtes reflétant la volonté des électeurs.

B - Le Conseil d’Etat n’a rien à envier au Conseil constitutionnel. On peut mettre tous ces gens-là dans la même poubelle de honte et de déshonneur.

Nous n’allons pas entrer dans les détails, mais, concernant la pseudo-pandémie de coronavirus, les masques, les confinements, la fermeture de certains lieux, etc., le Conseil d’Etat a rendu arrêt scandaleux sur arrêt scandaleux. Ces gens se moquent du monde, ouvertement.

En conclusion, comme beaucoup d’autres pays, la France est gouvernée par une camarilla sans foi ni loi, qui se répartit les postes dans l’exécutif, dans le législatif et dans le judiciaire, et qui viole impudemment toutes les règles de droit.

Vers la mise hors jeu des résistants

Comme si cela ne suffisait pas, il est de plus en plus clair que de futures élections risquent fort de demeurer hors de portée des citoyens qui résistent à la dictature.

Récemment, un laquais de l’oligarchie a proposé que les gens puissent se faire vacciner dans les bureaux de vote. Il faudrait être bien naïf pour ne pas comprendre où ils veulent en venir en rendant indissociables élections et coronavirus : interdire aux résistants de voter.

Le pouvoir n’aura qu’à décréter que, pour participer au scrutin, il faut être vacciné, d’autant, nous dira-t-on, que les bureaux de vote sont des lieux de foisonnante contamination. Au passage, on aperçoit l’une des raisons pour lesquelles certains partis politiques en ont rajouté dans la psychose au moment des municipales, hurlant que les mesures sanitaires n’étaient pas suffisantes, que quantités d’électeurs avaient été contaminés lors de ces élections, que ces dernières avaient provoqué des décès. Une fois de plus, ces partis se donnaient l’air de vilipender le gouvernement alors qu’en réalité, ils l’aidaient à associer coronavirus et élections; ils l’aidaient à ancrer l’idée selon laquelle il faudrait être protégé pour voter, c’est-à-dire, finalement, l’idée selon laquelle il faudrait être vacciné pour avoir le droit de vote.

Cela étant, il y a un moyen bien simple d’empêcher les gens de voter : faire croire qu’il y a une terrible pandémie, et ordonner un confinement total au motif que sortir de chez soi reviendrait à se suicider. Il n’y a plus alors qu’à reporter sine die le scrutin, ou à rendre obligatoire le vote à distance, propice à toutes les fraudes. On a vu qu’effectivement, en France et aux USA par exemple, les fraudeurs sont particulièrement partisans du vote par internet ou par correspondance …

L’étrange silence des candidats aux élections

Face à tout ce qui se prépare, on ne peut qu’être médusé devant l’atonie de certains politiciens français. Evacuons d’emblée, entre autres, les Mélenchon, les Jadot, le Parti socialiste, et toute la clique qui, servant de paillasse à l’oligarchie, s’est précipitée pour avaliser le coup d’Etat perpétré aux Etats-Unis, comme elle a avalisé le coup d’Etat surnommé Covid-19.

Concentrons-nous sur certains individus ou certains partis, que nous ne nommerons pas, mais qui prétendent constituer une véritable alternative.

Ce qui nous frappe chez ces gens, c’est l’incapacité, à la fois, à anticiper les événements futurs (pourtant prévisibles) et à tirer les leçons des événements récents.

Ils disent parfois eux-mêmes qu’ils n’avaient pas du tout vu venir ce qui se passe aujourd’hui avec la pseudo-pandémie. Mais, ils n’ont pas vu venir non plus ce qui vient d’arriver avec les élections aux Etats-Unis. Et, à l’évidence, ils ne voient pas davantage venir les épées de Damoclès – que disons-nous, les bombes nucléaires ! – que l’oligarchie a d’ores et déjà commencé à larguer et qui vont bientôt tomber.

Récemment encore, sur un réseau social, nous avons écouté l’interview d’une personnalité assez peu connue. Alors que, dans cette interview, il est beaucoup question des futures échéances électorales en France, à aucun moment l’intervieweur ou l’interviewé n’évoquent la présidentielle américaine, et il n’est donc question, à aucun moment, des leçons que l’on devrait tirer, en France, des fraudes qui, à l’évidence, caractérisent la procédure américaine et qui vont, à n’en pas douter, se reproduire dans l’Hexagone !

Comment se fait-il que les politiciens qui se présentent comme une opposition radicale au système, n’aient pas, depuis longtemps, avancé des propositions pour tenter de parer les coups qui se préparent en vue des scrutins censés se tenir en 2021 et 2022 ? Une fois de plus, quand on prétend être un responsable politique, on doit prévenir, anticiper, se tenir prêt, et non pas réagir après coup, une fois qu’il est trop tard.

Et cela, d’autant plus que les fraudes électorales se mijotent longtemps à l’avance : la triche de 2021 et 2022, si tant est qu’il y ait des élections en 2021 et 2022, est en train de se confectionner, dans le même temps où nous écrivons ces lignes; c’est donc dès maintenant qu’il faut s’y attaquer.

Humbles propositions à concrétiser en urgence

Nous suggérons quelques pistes modestes, et non limitatives, valables d’ailleurs pour tous les pays :

A faire surveiller les opérations de vote et de dépouillement par de nombreux citoyens, indépendants, neutres et justes

B dès maintenant, entamer une procédure afin que les prochaines élections se déroulent sous le contrôle d’organisations nationales et internationales impartiales, honnêtes, objectives, non infiltrées et non corrompues, lesquelles devront envoyer des observateurs intègres

C sans tarder, solliciter l’expertise et l’appui de certains spécialistes non pervertis, afin de parer à toute fraude

D lancer, de suite, une campagne contre le vote par correspondance, contre le vote par internet, contre le vote avec des machines et contre le vote par procuration

E mener campagne contre les sondages, que l’on sait être totalement bidonnés

F rapatrier les données du scrutin dans le pays où l’on vote (ainsi, en France pour les élections françaises) : il est totalement anormal que les calculs, consolidations ou autres opérations soient effectués par exemple aux Etats-Unis, alors même que ce pays donne l’exemple de la fraude la plus éhontée

G commencer à empêcher les manœuvres et les pressions de toutes sortes dans les lieux où sont regroupées les personnes fragiles, et singulièrement les personnes âgées, puisqu’il semble qu’il y ait beaucoup de choses malpropres de ce côté (notamment de fausses procurations et des chantages ignobles).

Chacun peut mettre les responsables politiques (puisque c’est ainsi qu’ils se nomment) devant leurs responsabilités, précisément, en leur demandant de se prononcer clairement sur ces propositions et d’agir dans leur sens.

 

SELLAMI

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Source : Lesmoutonsenrages.fr

 

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