Vous allez comprendre pourquoi les choses n'avancent pas (enfin pas assez vite) dans ce dossier...
Lorsque les historiens se pencheront sur l'année 2020, ils s'attacheront à comprendre les innombrables façons dont la crise du COVID-19 a affecté le monde. Il y aura des livres, des documentaires, des thèses et des émissions spéciales d'information qui interrogeront les hommes politiques et les responsables gouvernementaux qui ont joué un rôle majeur dans les événements qui se déroulent actuellement sous nos yeux. Peut-être qu'avec le temps, les questions concernant les limites du test PCR, les variables avec le nombre de cas COVID-19 et les préoccupations concernant la prescience seront explorées de manière logique et basée sur les faits. Ou, comme c'est le cas pour les attaques du 11-Septembre 2001, les questions seront ignorées par les masses et les médias, alors qu'une partie de la population en constante augmentation continue à chercher les réponses qui sont nécessaires pour saisir pleinement la portée et le coût du faux drapeau.
Alors que des personnes du monde entier participent aux cérémonies et aux événements organisés pour marquer l'anniversaire du 11-Septembre, les nombreuses questions qui subsistent autour des attentats se font jour. Nos esprits collectifs sont peut-être concentrés sur les craintes et les ramifications liées au COVID-19, mais comprendre la vérité sur le 11-Septembre - le dernier grand événement mondial à avoir touché des milliards de personnes - reste une partie extrêmement vitale pour démêler le récit de contrôle filé par la classe prédatrice.
La justice se lève
En ce 19e anniversaire des attentats du 11-Septembre, le mouvement pour la vérité poursuit sa lutte de près de deux décennies pour des faits non dissimulés. Le mouvement Vérité du 11-Septembre comprend des victimes, leurs familles et des experts dans divers domaines qui sont sceptiques quant à la ligne officielle du gouvernement sur le 11-Septembre. Parmi ces groupes, on trouve notamment Architects & Engineers for 9/11 Truth, Firefighters for 9/11 Truth & Unity, Pilots for 9/11 Truth, 9/11 Families United for Justice Against Terrorism, Scholars for 9/11 Truth & Justice, ainsi que d'autres groupes et individus militants locaux du monde entier. Il s'agit d'un mouvement peu structuré, sans position officielle, et les opinions, théories et idées des membres sont souvent en conflit les unes avec les autres. Cependant, le mouvement est uni par la conviction que le discours officiel promu par le gouvernement américain est plein de trous.
L'association à but non lucratif Architects & Engineers for 9/11 Truth a été une composante essentielle du mouvement depuis le milieu des années 2000, organisant un certain nombre de conférences, de manifestations, d'événements de sensibilisation et de projections de documentaires. Pour son 19e anniversaire, AE for 9/11 Truth organise une conférence en ligne intitulée "Justice Rising", du vendredi 11 septembre au dimanche 13 septembre. L'événement examinera "la lutte continue pour la justice du 11 septembre et la trajectoire destructrice du monde de l'après-11 septembre". La conférence durera trois heures par jour et sera ouverte à tous gratuitement.
Le vendredi soir, la conférence sera animée par Mick Harrison, du Comité des avocats pour l'enquête sur le 11 septembre, qui discutera des dernières nouvelles concernant la "demande de correction" du rapport 2008 du National Institute of Standards and Technology (NIST) sur le World Trade Center 7. De nombreux chercheurs de la vérité sur le 11 septembre se concentrent sur le mystérieux effondrement du WTC7 comme preuve irréfutable que les Américains ont été trompés sur les attentats. Le WTC7 n'a pas été frappé par un avion, mais il s'est effondré à 17h20 le 11 septembre 2001. Selon le NIST, l'effondrement a été causé par des incendies de bureaux qui ont entraîné une expansion thermique des colonnes et des poutres de soutien du bâtiment.
Architects & Engineers for 9/11 Truth a soumis la "demande de correction" au NIST le 15 avril 2020, demandant à l'agence de réviser sa position sur l'effondrement du WTC7. AE 9/11 Truth dit qu'ils ont fourni un rapport détaillé en huit points montrant que les incendies de bureaux n'auraient pas pu causer l'effondrement du bâtiment. Cependant, le 28 août, le NIST a publié sa décision initiale rejetant la demande de correction que dix membres de la famille du 11 septembre et 88 architectes et ingénieurs en structure ont soumise.
"Notre demande décrivait de façon méticuleuse et détaillée huit éléments d'information du rapport du NIST sur le bâtiment 7 qui violaient la loi fédérale sur la qualité des données et les normes de qualité de l'information du NIST", écrit AE 9/11 Truth. "Notre but était de contraindre le NIST à rectifier ces violations et, ce faisant, de renverser sa conclusion non fondée selon laquelle le feu était la cause de l'effondrement du bâtiment 7."
AE a également noté que le NIST a manqué à son obligation en fournissant une "réponse point par point à tous les arguments pertinents contenus dans la demande", comme l'exige la loi sur la qualité des données. L'association à but non lucratif, composée de plus de 3 000 architectes et ingénieurs, a déclaré que la réponse du NIST était un "évitement flagrant des arguments et des faits contenus dans la demande", conçu dans l'intention de "tromper le lecteur non averti". AE 9/11 Truth prévoit de faire appel de la décision d'ici le 27 septembre 2020.
La conférence du 19e anniversaire de Justice Rising mettra également en vedette trois "pionniers" du mouvement 9/11 Truth, dont David Ray Griffin, Niels Harrit et Steven Jones. Ces trois hommes ont contribué à clarifier les nombreuses questions entourant les attaques du 11 septembre. M. Griffin est professeur émérite de philosophie de la religion et de théologie à la Claremont School of Theology et à la Claremont Graduate University. Il a publié quatorze livres qui traitent spécifiquement du 11 septembre, dont The New Pearl Harbor : Disturbing Questions about the Bush Administration and 9/11, publié en 2004.
Niels Harrit a été professeur associé de chimie à l'Université de Copenhague de 1971 à 2009, et est l'auteur de plus de 60 articles publiés dans des revues à comité de lecture. Depuis 2007, il participe activement au mouvement mondial pour la vérité sur le 11 septembre et est l'auteur principal d'un article scientifique, publié en avril 2009, qui décrit les découvertes de matériaux thermites actifs dans la poussière provenant de l'effondrement des bâtiments 1, 2 et 7 du World Trade Center. C'est cette présence de poussière thermite qui a conduit les chercheurs à conclure que des charges explosives ont été placées dans tous les bâtiments pour faciliter leur démolition contrôlée
Steven Jones est un ancien professeur de physique à l'université Brigham Young. Jones a été l'initiateur de la recherche pour l'article évalué par les pairs, "Active Thermitic Material Observed in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe", publié dans l'Open Chemical Physics Journal. Steven est également l'auteur de l'influent article de 2005, "Why Indeed Did the WTC Buildings Collapse ?
Un des aspects les plus profonds de la conférence "Justice Rising" sera une discussion avec le Dr Leroy Hulsey, ancien professeur de l'Université d'Alaska Fairbanks qui a dirigé une étude d'ingénierie de plusieurs années évaluant si le feu a causé l'effondrement du WTC7 le 11 septembre 2001. L'étude de Hulsey est le sujet d'un documentaire à venir appelé SEVEN, réalisé par Dylan Avery, le réalisateur du tristement célèbre documentaire sur le 11 septembre, Loose Change.
Les conclusions du Dr Hulsey selon lesquelles le feu n'aurait pas pu causer l'effondrement du World Trade Center 7 auraient dû envoyer des ondes de choc sur la scène politique américaine, mais l'absence de reportage sur le sujet a fait en sorte que seuls les membres du mouvement Vérité du 11 septembre en ont compris les implications. Hulsey a déjà fait des présentations détaillant comment son équipe a éliminé le feu comme cause de l'effondrement du bâtiment de 47 étages. Hulsey a expliqué que le rapport du NIST sur l'effondrement a trouvé des incendies aux étages 7 à 9, 11 à 14, 19, 22, 29 et 30. Cependant, il n'y a aucune preuve d'incendie en dessous du 7ème étage, a déclaré Hulsey.
La communauté Vérité du 11 septembre a longtemps souligné la nature unique de l'effondrement des tours du WTC. Jamais auparavant les incendies n'avaient fait tomber à eux seuls des gratte-ciels en acier. Pour beaucoup dans le mouvement, les études du Dr. Hulsey sont bien accueillies mais se heurtent aussi au scepticisme. En effet, immédiatement après le 11 septembre, des activistes et des chercheurs ont souligné les nombreux rapports et descriptions d'explosions qui ont eu lieu à la base des Twin Towers. Aujourd'hui, certains "Truthers" du 11 septembre se demandent si l'étude de Hulsey fera une différence alors que le public a été largement endoctriné à accepter la version des faits du gouvernement américain.
Il y a quatorze ans, AE 9/11 Truth a produit l'article 118 Witnesses : The Firefighters' Testimony to Explosions in the Twin Towers (Témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles), une revue des entretiens menés avec 503 membres du service des pompiers de New York (FDNY) dans les semaines et les mois qui ont suivi le 11 septembre. L'étude a révélé que 118 pompiers ont décrit avoir été témoins de ce qu'ils ont interprété comme des explosions.
Plus récemment, l'AE a publié un rapport qui a examiné plus de 70 heures de couverture médiatique du 11 septembre. Le rapport, intitulé How 36 Reporters Brought Us the Twin Towers' Explosive Demolition on 9/11, fait la lumière sur la façon dont la destruction des Twin Towers a été rapportée au départ. Selon AE 9/11 Truth, l'examen de la couverture médiatique "révèle que l'hypothèse d'explosions entraînant l'effondrement des Twin Towers n'était pas seulement répandue parmi les reporters couvrant les événements de New York le 11 septembre, mais était en fait l'hypothèse dominante".
Les 36 journalistes qui nous ont rapporté la démolition explosive des Twin Towers le 11 septembre comprennent, par réseau, George Stephanopoulos et Cynthia McFadden d'ABC ; Harold Dow, Tom Flynn, Mika Brzezinski et Carol Marin de CBS (apparaissant sur WCBS) ; Pat Dawson et Anne Thompson de NBC ; Aaron Brown, Rose Arce, Patty Sabga et Alan Dodds Frank de CNN ; David Lee Miller et Rick Leventhal de Fox News ; Ashleigh Banfield et Rick Sanchez de MSNBC ; John Bussey, Ron Insana et Bob Pisani de CNBC ; N. J. Burkett, Michelle Charlesworth, Nina Pineda, Cheryl Fiandaca et Joe Torres de la WCBS ; John Slattery, Marcella Palmer, Vince DeMentri et Marcia Kramer de la WNBC ; Walter Perez de la WNBC ; Kristen Shaughnessy, Andrew Siff, John Schiumo et Andrew Kirtzman, Jack Kelley, de USA Today, et deux journalistes non identifiés (1 et 2) qui ont assisté à une conférence de presse avec le maire de New York, Giuliani, et le gouverneur de New York, Pataki.
La vérité reste enterrée
Alors que AE 9/11 Truth reste engagé à exposer les failles de la théorie du NIST sur l'incendie et l'expansion thermique, d'autres membres de la famille et des journalistes se consacrent à découvrir la vérité sur le financement des attaques et les nombreuses données qui restent confidentielles.
Pendant plusieurs années, les membres des familles se sont battus pour obtenir la publication des 28 pages maintenant déclassées de la "Joint Inquiry into Intelligence Community Activities Before and After the Terrorist Attacks of September 11, 2001". Bien que le rapport final compte plus de 800 pages, les 28 pages ont été classées par l'ancien président George W. Bush peu après la publication du rapport en 2002. Les documents détaillent l'histoire de ressortissants saoudiens soupçonnés d'être des agents des services de renseignement saoudiens impliqués dans les attentats terroristes. En juillet 2016, après près de 15 ans de secret et de résistance de la part des administrations Bush et Obama, le rapport a été rendu public et communiqué aux membres des familles des victimes des attentats du 11 septembre.
La publication de ces 28 pages, en conjonction avec l'adoption de la loi sur la justice contre les commanditaires du terrorisme (JASTA), a permis aux victimes du 11 septembre de bénéficier d'une journée au tribunal. Comme Dan Christensen du Florida Bulldog l'a récemment fait remarquer, "la dernière et meilleure chance d'obtenir des réponses concrètes de notre vivant est probablement l'immense procès intenté par des milliers de victimes du 11 septembre et leurs familles, qui se déroule actuellement devant le tribunal de district américain de New York".
Le Royaume d'Arabie Saoudite est devenu le point central du procès des familles des victimes du 11 septembre "pour avoir sciemment fourni un soutien matériel et des ressources à l'organisation terroriste Al-Qaida et facilité les attaques du 11 septembre" en 2001. L'administration Obama s'est opposée à l'adoption du projet de loi, opposant finalement son veto à la législation avant que le Congrès ne vote pour passer outre l'ancien président. Alors que Donald Trump s'était engagé pour la forme à découvrir le contenu des "documents secrets", il est devenu depuis l'un des plus ardents défenseurs du Royaume saoudien, notamment en soutenant un accord d'armement sans précédent qui alimente les violations des droits de l'homme au Yémen.
L'administration Trump - par le biais du ministère de la Justice et du FBI - a maintenu les exigences de secret dans les tribunaux. "Le gouvernement continue de résister à l'idée de produire des milliers de dossiers plus détaillés, prétendant que ces documents concernant l'implication apparente des Saoudiens avant le 11 septembre sont un secret d'État", rapporte le journal Bulldog. "En avril, le procureur général William Barr et le directeur par intérim du renseignement national Richard Grenell ont déclaré publiquement sous serment que leurs affirmations personnelles du "privilège des secrets d'État" étaient nécessaires pour "protéger les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis".
Les familles des victimes du 11 septembre ont tenté de repousser les revendications du gouvernement en matière de secrets d'État, mais ont rencontré des difficultés en raison de la nature déjà secrète des procédures judiciaires. Par exemple, les avocats représentant les familles n'ont même pas accès aux arguments du gouvernement concernant les secrets d'État. Christensen note que la semaine dernière seulement, le gouvernement américain a déposé une déclaration classifiée de Michael H. Glasheen, directeur adjoint par intérim de la branche des opérations de la division antiterroriste du FBI. Cependant, la déclaration ne peut être vue que par le juge, les plaignants et le public étant laissés dans l'ignorance totale.
Il est intéressant de noter que les déclarations secrètes sont souvent classées en vertu du décret présidentiel 13526, signé par l'ancien président Obama le 29 décembre 2009. Ce décret stipule essentiellement que le gouvernement américain estime que la sécurité nationale est plus importante que "la libre circulation des informations".
Après près de deux décennies, il devrait être parfaitement clair pour les Américains - et pour ceux qui, dans le monde entier, sont concernés par la politique étrangère américaine - que le gouvernement américain n'a aucun intérêt à faire la lumière sur l'attentat sous faux drapeau du 11 septembre. Le potentiel qui reste pour que la vérité soit rendue publique sera largement déterminé par les activistes, les journalistes et les chercheurs qui composent le mouvement Vérité du 11 septembre.
La vérité va-t-elle mourir dans les vignes, comme tant d'autres efforts pour réveiller les masses ? Ou les peuples du monde se réveilleront-ils enfin face aux mensonges qui entourent la version officielle des attentats du 11 septembre 2001 ?
Derrick Broze, rédacteur en chef de The Last American Vagabond, est journaliste, auteur, orateur et activiste. Il est le co-animateur de Free Thinker Radio sur 90.1 Houston, ainsi que le fondateur de The Conscious Resistance Network & The Houston Free Thinkers. https://www.thelastamericanvagabond.com/category/derrick-broze/
Source : Thelastamericanvagabond.com
Informations complémentaires :
Crashdebug.fr : Post 11 septembre – L’affaire de l’anthrax rebondit avec la remise en cause du rapport du FBI
