Alerté sur Macron et Mc Kinsey, le PNF élargit ses enquêtes aux comptes de campagne de 2017 et 2022 (Le Figaro.fr)

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Bonsoir à toutes et à tous, aujourd'hui cette nouvelle est tombée, et face aux tombeaux d'informations que nous avons (Informations complémentaires), et alors que notre pays s'enfonce dans l'indicible et l'anxiété chaque jour un peu plus.

Cette lueur d'espoir et enfin une enquête du PNF, bon je ne veux pas gâcher le tableau apprécions la nouvelle.

Par contre comme vous le savez (voir vidéo ci-dessous) c'est Mc Kinsey qui est à l'origine de la création "d'En Marche"

Il est donc logique qu'ils aient eu des 'retours sur investissement', mais en fait ils ont été 'introduits' dans le fruit il y a 15 ans par Sarkozy, qui disait 'qu'il y avait trop de fonctionnaires' et qui les a fait remplacer par des cabinets privés.

Du reste, il n'y a pas que le souci d'argent, ils ont eu accès à TOUTES nos données vitales et stratégiques à toutes vannes ouvertes.

Vous comprenez ce que cela veut dire ? Enfin les Américains n'ont pas besoin de ça pour avoir accès illégalement à ces données, mais là, on les leur a 'offertes' sur un plateau, idem pour les votes des élections, je rappelle, qui sont passé par les Etats-Unis pour être 'consolidés'... (on se demande pourquoi quand même, on n'a pas d'ordinateurs en France... ????)

Bref,

Tout ceci s'inscrit dans le cadre de 'notre 'vassalation' aux États-Unis d'Amérique après le départ de Charles de Gaulle.

Pour prendre un peu de recul et faire les 'liens', Blackrock et Vanguard sont actionnaires de Mc Kinsey qui a, entre autres, 'coordonnés' les politiques Covid en Europe. Et qui PILOTENT cette prise de contrôle mondiale et plus encore...

Ça fait des années qu'on le relâche, mais tout a une 'explication', là aussi on va être lourd, mais cela s'incarne dans ce que MPoutine appelle l'Empire du Mensonge... qui voit ce proche développement inquiétant en Ukraine, là aussi, lol, toujours les mêmes...

Pour le reste, bravo à ces gens qui ont porté plainte, car c'est un véritable SCANDALE, alors apprécions quand même le cadeau qui nous est fait, et voyons ce que cela va donner.... ; )))))))))))

Amitiés,

L'Amourfou.

McKinsey macron
Emmanuel Macron (ici mardi 22 novembre) est publiquement incriminé dans le dossier de Mc Kinsey.
LUDOVIC MARIN / AFP

Les investigations des juges portent aussi sur des suspicions de «favoritisme» et «recel de favoritisme», à la suite «d'intervention des cabinets de conseil».

L'Élysée s'est d'abord réfugiée dans le silence. «Pas de commentaire», évacuait-on dans un premier temps dans l'entourage d'Emmanuel Macron, jeudi après-midi, peu après les révélations du Parisien. Avant de consentir à la formule qui s'impose dans pareilles circonstances : «Il appartient à la justice de conduire ces investigations en toute indépendance.» «Mc Kinsey n'a aucune information sur les éléments parus par voie de presse ce jour», abondait-on au sein de l'entreprise.

Dans un communiqué publié dans la foulée, le parquet national financier (PNF) confirmait pourtant l'ouverture de deux informations judiciaires, les 20 et 21 octobre derniers, portant sur «l'affaire Mc Kinsey» et, plus globalement, sur «les conditions d'intervention des cabinets de conseils dans les campagnes électorales de 2017 et 2022».

«Suite à plusieurs signalements et plaintes d'élus et de particuliers», ainsi que des saisines «de syndicats» et «d'associations», des enquêtes portent donc actuellement sur une présumée «tenue non conforme des comptes de campagne» et des soupçons de «minoration d'éléments comptables dans un compte de ­campagne». Enfin, les investigations du PNF portent par ailleurs sur «chefs de favoritisme et recel de favoritisme».

Bien qu'il ne soit pas nommément cité dans le texte du procureur de la République financier, Jean-François Bohnert, le seul responsable politique à avoir été publiquement incriminé dans ce dossier jusqu'à présent est Emmanuel ­Macron. Lequel, eu égard à l'immunité totale et absolue que lui confère son statut de président, ne peut de toute façon pas être entendu dans quelque procédure que ce soit, pour toute la durée de son mandat.

À VOIR AUSSI - Affaire Mc Kinsey : le PNF élargit ses enquêtes aux comptes de campagne de 2017 et 2022.

 «Une meilleure utilisation de l'argent et des agents publics»

«Pour avoir eu à gérer les comptes du parti durant les nombreuses années que j'ai passées au sein de la direction, je peux vous dire que je suis très serein», racontait un proche du chef de l'État, en découvrant le sujet dans la presse. «Oui, il est possible que des gens de chez Mc Kinsey aient donné 7 500 euros, mais la loi française est ainsi faite qu'ils en ont tout à fait le droit en tant qu'individus», ajoute-t-on de même ­source. Et de conclure : «Le président veut que l'on avance vite sur une meilleure utilisation de l'argent et des agents publics, justement pour ne pas abandonner le sujet à ceux qui veulent faire de la mousse autour des fantasmes que suscitent Mc Kinsey.»

Mi-octobre, le Sénat a adopté une proposition de loi obligeant le gouvernement à publier, chaque année, un document annexé au budget qui recense «les prestations de conseil commandées par les administrations bé­néficiaires au cours des cinq dernières années». Les missions réalisées «pro bono», à titre gratuit, ont aussi été interdites. De son côté, l'exécutif a annoncé, fin juillet, vouloir « donner un cadre largement défini dans ses principes et dans ses montants », en instaurant no­tamment un plafonnement au coût de chaque mission, établi à deux millions d'euros. En parallèle, la Cour des comptes va elle aussi re­venir sur «le recours par l'État à des cabinets de conseils privés», d'ici fin 2023.

Un objet de débat politique

La publication récente par le Sénat d'un rapport sur le ­recours croissant à des cabinets de conseil privés par l'État, et leur «influence sur les politiques publiques», a fait de ces sociétés un objet de débat politique, cristallisé durant la campagne présidentielle autour du géant américain Mc­ Kinsey. Au point que le PNF a ouvert une enquête préliminaire au printemps dernier pour blanchiment aggravé de fraude fiscale. «Cette enquête vise bien et uniquement la so­ciété Mc Kinsey sur la question de son statut fiscal en France», confirmait alors l'institution au Figaro. Investigations qui l'auraient manifestement conduite à élargir ses travaux, comme elle vient de l'annoncer.

 

Source : Le Figaro.fr

 

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